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Chap. II – Bio amoureuse – “Tous les juponsCinquanteNerf Bio— Chapitre II —D’autres histoires à http://bisoumidomi.unblog.frAprès mes premières armes avec Mireille qui avait parfait mon éducation dans le domaine des jeux amoureux, je me mis à assidument courtiser les filles de mon âge. Je me rendit rapidement compte qu’il existait maintenant un décalage entre leurs envies, leurs désirs de jeunes filles et ce que j’attendais moi d’elles. Mais que voulez vous je craquais pour un nombre presque infini de minois, de paires de fesses également.Suite…Les hommes sont caractérisés par un ego souvent disproportionné, et sur le plan des conquêtes féminines ils ont tendance à idéaliser. Au bout du compte quand on parle de femmes entre hommes tous n’ont connus que des filles superbes à la plastique irréprochable, au tour de taille idéal.Ce n’est pas mon cas, je n’idéalise pas mes conquêtes, j’ai connu de très jolies filles, mais j’ai connu des filles qui avait eu moins de chance ou dont la plastique laissait a désirer et certaines avaient des paquets de kilos en trop. Mais pour moi cela n’importe pas, ce qui compte c’est l’envie de prendre et de donner du plaisir.La beauté la plastique certes sont souvent un plus, mais au bout du compte j’ai pris souvent bien plus de plaisir avec des filles disons communes, alors que je me suis ennuyé avec des gamines superbes. Je reste intimement persuadé qu’une jolie fille, sait qu’elle a des atouts, une fille moins gâtée par la nature compensera par souvent plus d’audace, et parfois elles ont tellement envie de plaire qu’elles accèdent à toutes nos demandes là ou de jolies filles refuserait.Pour moi il n’y a pas de filles belles ou moins belles, il y a des filles qui aiment vraiment les jeux de l’amour sans tabou, d’autres qui s’y plient car elle ne peuvent pas faire autrement mais s’en passerait bien. Étrangement dans cette dernière catégorie on trouve une forte proportion de jolies femmes. En plaisantant je dis souvent mon type de femme c’est « celle qui dit oui ».Quand je fais un retour sur mes années passées je n’arrive pas à comprendre ce qui peut attirer une femme chez moi. Je n’ai pas le physique, du moins je ne pense pas être l’idéal masculin de ces dames. Peut être est ce une question de persuasion, il est vrai que j’arrive assez facilement par la discussion à expliquer les choses, a démystifier souvent. Est ce çà la clef? Honnêtement je ne sais pas. Surtout si l’on fait un rapide tour d’horizon j’ai eu des amantes dont l’age allait de 18 à plus de 60 ans, des femmes de tous horizons, de races différentes et de statut social très différent alors quoi? Comment? Pourquoi? Cela reste véritablement un mystère. Faisons exception de celles qui furent a moi pour une heure ou une nuit dans le cadre de parties dites fines.Il faut envisager également la question du nombre de mes conquêtes. Certes les femmes qui ont compté véritablement mes mains suffisent pour les dénombrer. Par contre pour savoir le nombre de femmes que j’ai tenu dans mes bras, là je suis bien incapable de donner un chiffre, si je tente une estimation je dirais en incluant les maitresses d’un instant largement plus de 100. Ce n’est pas une gloire, je n’en parle pas trop en fin de compte et puis quel intérêt? Le constat est pourtant amusant.Tout le temps que je passais dans mes études, tout ce temps fut émaillé de rencontres avec quelques filles dont j’ai encore le souvenir.Naturellement la première que j’ai conquis, car Mireille m’avait choisi et m’a croqué.Fabienne, petite toute menue la peau mate, des cheveux noirs et un regard d’un brun profond, de tes jolis yeux pailletés d’or. Des seins elle n’en avait guère. Malgré mes heures de pratique avec Mireille, je dois dire que le moment ou enfin je me trouvais seul avec Fabienne fut exquis. J’avais le cœur battant a tout rompre. Depuis un moment nous étions ensemble et nous avions déjà épuisé le registre des baisers, des caresses parfois plus que coquines, nous étions arrivés a plusieurs reprise au bord de l’extase par nos caresses mais jamais encore nous n’avons franchi le pas.Ce samedi là dans sa chambre, les parents absents,Fabienne était chaude comme de la braise, je l’avais senti au premier baiser. Habituellement elle ne me laissait la caresser qu’au travers de son chemisier et là elle me laissa glisser ma main par l’échancrure. C’est un délice de sentir la peau chaude et palpitante de celle qu’on désire ardemment. Et là je sentais battre son cœur sous ma main.Quand je refermais mes doigts sur son téton elle laissa aller sa tête en arrière et poussa un petit gémissement, sa main ne restait pas inactive et elle se glissait dans la ceinture de mon pantalon. Jamais elle n’avais osé. Nos bouches se dévoraient, nos mains découvraient les recoins jusque là interdits. Mon sexe était dressé, ses doigts me touchèrent, cela fit l’effet d’une décharge électrique et mon sexe durcit encore plus.Elle me regardait amoureusement, nous n’osions pas parler. Je commençais a défaire les boutons du chemisier, je m’attendais d’un moment à l’autre à un veto. Mais rien ne vint entraver ma progression, pire elle remontais mon t-shirt pour me l’ôter. Le chemisier était un souvenir, son petit soutien gorge noir c’est elle qui le dégrafa et le jeta sans vergogne au sol.Nous étions torse nu tous les deux, maintenant a genoux sur son lit. Je caressai ses épaules tandis que nos bouches se soudaient a nouveau. Je fut surpris par la douceur de ses mains sur mon dos et ma poitrine et surtout par l’effet que cela produisait en moi. Je laissais mes lèvres descendre dans son cou, elle se laissait faire, puis je couvrais de baiser l’espace entre ses deux petits seins avant de déposer des baiser sur les pointes durcies.Nous nous regardions, un feu brulait dans ses prunelles, de toute évidence nous avions dépassé le point de non retour, nous ne pouvions plus arrête là. Elle commençait a défaire ma ceinture et moi j’avais retroussé sa petite jupe, pétrissant ses fesses un moment avant de glisser mes doigts sous l’élastique de sa culotte. Sous mes doigts je sentais sa toison puis descendant plus loin la blessure moite de sa chatte, mon doigt descendait dans la fente et la moiteur fit place à l’humidité.Fabienne tout comme moi était dans un état d’excitation intense. Moi je me demandais si j’arriverais à ne pas gicler avant d’arriver au port. Et je failli bien partir quand elle finit par baisser mon pantalon et mon slip laissant bondir mon sexe. Elle n’eut aucune hésitation et me prit dans sa main et doucement elle la laissait glisser décalottant mon sexe gonflé a cet instant j’ai cru que j’allais partir, je senti une goutte monter le long de ma verge et perler au bout du gland. En quelques instants nous étions nus.Fabienne c’était allongée, agenouillé prés d’elle je caressais son corps, elle continuait a masser ma queue doucement. Mes doigts s’emparaient de sa chatte humide, elle ouvrait les cuisses me laissant œuvrer a ma guise. Mes heures passées avec Mireille et ses conseils furent utiles, doucement avec mes pouces j’écartais les grandes lèvres ouvrant le sillon rose et humide de son sexe, et humide il l’était, luisant, brillant. J’écartais les lèvres pour voir le petit bouton qui trônait a la jonctions. Fabienne tressaillait et poussait de petits gémissements très excitants au fur et à mesure de mon exploration. Je me penchais mes lèvres touchèrent son sexe elle poussa un petit cri, qu’elle sentait bon, c’était poivré, piquant j’adorais son odeur. Ma langue se mit a explorer son sexe, cette fois Fabienne se mit a gémir ses mains étaient posées sur ma tête accompagnant mes mouvements, Elle était vraiment humide, trempée même et j’ajoutais ma salive à sa rosée. Son clitoris était gonflé et saillait de plus en plus, la pointe de ma langue l’agaçait tirant de Fabienne des cris de plus en plus marqués. Ma queue tendue me faisait mal et frottait contre le drap. Elle fut soudain beaucoup plus humide alors que ses hanches roulaient. Elle me tirait sur la tête maintenant et dit ce seul mot « Viens ». Je me plaçais entre ses cuisses, mon sexe dur contre sa chatte trempée. Elle m’avait enlacé et me regardais amoureusement. Mon sexe butait, Fabienne n’avais jamais connu d’homme avant moi, me rappelant des conseils de Mireille je faisait le plus doucement possible. Mes mains enserraient son visage, je poussais lentement. Ses yeux grands ouverts était une invitation à aller de l’avant. Elle poussa un cri et je senti mon sexe la pénétrer, il était brulant et palpitait autour de ma queue dure. Fabienne avait fermé les yeux. Elle croisa ses jambes autour de mes reins et je commençais à aller et venir lui soutirant de petits cris. Ses doigts se crispaient sur mon dos, puis se furent ses ongles qui me labouraient. Son sexe était étroit et je sentais monter mon plaisir, je ralentissais le mouvement, mais je pénétrais plus profondément en elle Maintenant je glissais dans une gaine trempée et brulante, je sentais les contractions sur mon sexe ajoutant leur massage au va et viens. Je ne pouvais plus me retenir J’allais me retirer quand elle serra ses cuisses et dans un souffle me dit « non reste » ces mots furent le signal et je giclais dans son ventre qui s’affolait. A cet âge inutile de dire que les réserves sont importantes et je me vidais littéralement en elle tout en prenant sa bouche dans un baiser des plus fougueux. En me retirant je constatais que mon sexe était quelque peu rougi, Fabienne était vierge elle ne l’avais jamais caché. Et elle avait pris du plaisir pour cette première fois ce qui est somme toute très rare, je crois qu’elle le doit aux leçons de ma première maitresse. pendik escort Et c’est vraiment comblée qu’elle vint se blottir dans mes bras. Ces instants je ne les oublie pas, je ne les ai jamais oubliés et je m’étonne moi même en faisant cet effort de mémoire pour écrire ces instants passés, de la netteté des faits.J’avoue que j’ai pris du plaisir avec Fabienne, mais la comparaison avec ce que j’avais connu avec Mireille mon initiatrice donnait a cette dernière un sacré avantage. C’est donc un peu déçu en fin de compte que je ressortais de cette étreinte.Je pensais être amoureux et que Fabienne serait la femme de ma vie.. Je compris un couple de mois plus tard que ce ne serais pas le cas. J’avais flashé sur une autre minette et elle sur un autre gars.J’eus ainsi quelques belles aventures voir mésaventures, comme cette blonde plutôt potelée dont j’ai oublié le prénom qui un soir en sortie de boite avait décidé de me faire une vraie pipe, comme une grande. Bien installé dans la voiture ma première d’ailleurs, la belle me gobais la queue avec un certain art je dois dire, m’aspirant me léchant le gland, me reprenant dans sa bouche bien profondément, tandis que je lui pétrissait les seins d’une main. J’aime prendre du plaisir mais je n’aime pas que mes partenaires soient désagréablement surprises et sentant venir la conclusion de cette pipe fort agréable je tentais de la prévenir en éloignant sa tête pour qu’elle ne prenne pas toute l’averse sans crier gare. A cet instant elle leva les yeux et continuait de plus belle a me pomper, je laissais donc faire et ce qui devais arriver arriva, je giclais non pas dans sa bouche mais littéralement dans sa gorge car la belle y allant de bon cœur m’avalait complétement. Il faut dire à sa décharge que nous avions pas mal bu, sans doute la cause de son comportement kamikaze.. Mais ce fut violent et bref.. J’avais a peine fini de frissonner en me vidant qu’elle se vidait l’estomac sur mon pantalon.. La sensation de chaleur pour le moins intéressante.. fut quand même gâchée par l’odeur et le gâchis sur le siège de la voiture.. La honte sans doute mais ce fut la dernière fois que je j’eus le plaisir de m’amuser avec elle.Parfois ce fut moi qui me tapait une honte sans nom.. un soir de fête j’avais branché une superbe petite brune, très typée bronzée a souhait, pas froid aux yeux de superbes petits seins bien fermes sous un maillot moulant, pas le moindre sous vêtement de ce côté.. Je vis rapidement qu’il n’y avait rien non plus sous sa jupe. Encore une fois le whisky avait coulé à flot et j’avais fait le plein il faut bien l’avouer, Karine aussi, je me souviens de son prénom car nous avons fait quelques mois de concert. C’était notre première, fois elle ne fut pas glorieuse mais ne jeta aucune ombre sur les suivantes. J’ai toujours préféré le costume trois pièce au jean/basket.. Et la cravate j’étais habitué à cette tenue.. qui ne déplait pas aux femmes loin de là.. le décontracté ca plait mais le look un peu chic est sans doute rassurant et il colle plus a mon physique en fait. Karine avait donc craqué et en grande fille elle sentait bien que les roulages de pelle et autres amuses bouche ne suffirait pas à nous calmer.. Autant elle que moi avions envie d’un peu de sport..Main dans la main nous nous éclipsons vers le parking désert, ma voiture est là nous tendant les coussins en plus une R16 TS à l’époque c’était plutôt pas mal.. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire Karine est sur la banquette la jupe retroussée sa motte toute épilée à ma disposition, mon pantalon sur les chevilles histoire d’être a l’aise.. une séance de coups de langue la met dans tous ses états.. L’alcool aidant nos inhibitions étaient largement tombées.. il est vrai que pour ma part je n’en ai jamais eu beaucoup. Je décide qu’il est temps d’entrer dans le vif du sujet.. et là impossible de me glisser en elle, ca résiste, je pousse a m’en faire péter la queue, rien n’y fait. La belle sous l’emprise du scotch plus que du plaisir se laisse faire de bonne grâce.. poussant quelques gémissements et m’agrippant par le cou.. Après plusieurs essais j’ai enfin la présence d’esprit de jeter un œil et là je vois ma cravate bien plantée dans sa chatte, j’étais en train d’essayer de rentrer ma cravate en guise de capote.. J’enlevais l’objet du délit qui avait une délicieuse tache humide et une superbe odeur.. après.. Et je pus enfin consommer la petite Karine… et je dois dire que malgré cette mésaventure elle était enchantée de ce premier assaut, me laissant entendre qu’elle avait rarement pris son pied comme çà.. Évidemment les mecs qui essayent d’enfiler une cravate dans leur copine.. c’est rare.. Pourtant j’en ai enfilé des choses étranges a cet endroit.. mais çà c’est pour plus tard.Les études terminées et le job trouvé tout deviens plus simple, on est autonome on à son salaire, même si on est encore un peu chez les parents on est libre d’aller ou l’on veut et de papillonner avec les filles.. Cela évite les situations gênantes.. J’ai très rarement ramené une copine à la maison en tout et pour tout 2 seulement.. mon ex femme et ma femme actuelle ce qui fait peu compte tenu du nombre de femmes consommées. Des situations embarrassantes j’en ai pourtant connues comme la fois où, qu’elle me pardonne ne ne me souviens pas de son prénom j’avais bien plantée sur moi et dans son petit trou une jeune fille plus que ronde qui était déchainée, une vraie furie qui adorait entendre des insultes, j’avoue que ce genre de jeu m’a toujours plu mais avec certaines j’ai eu plus de mal qu’avec d’autres. Elle me chevauchait donc me tournant le dos, assise vraiment bien empalée sur mon sexe , je la tenais par les cheveux lui tirant la tête en arrière la traitant de pute et de salope quand d’un coup elle pousse un cri et se fige.. Compte tenu de la taille de ma partenaire je ne voyais rien et je lui dit « remue donc ton cul grosse salope » et la j’entends une voix glaciale déclarer « Non elle va arrêter tout de suite maman est rentrée » Je n’ai jamais débandé aussi vite je crois.. je vous passe le savon, l’esclandre et tout.. nous étions majeurs donc rien de bien grave mais c’est franchement désagréable.J’avais pas 20 ans mais j’appréciais énormément les femmes plus âgées et je fis la conquête de pas mal de femmes mariées, en général de 10 ou 15 ans plus âgées, parfois beaucoup plus puisque une de mes conquêtes avait 35 ans de plus que moi. Je ne regrette pas du tout ces choix, jamais on ne proposait le mariage, je ne me sentais pas coincé astreint au code de bonne conduite avec une jeune fille.. Ces femmes n’avait qu’une envie, baiser, prendre du plaisir avec un gars plus jeune.. Je n’avais qu’une envie prendre du plaisir et ne pas m’engager dans des choses durables. Tout le monde était content.. L’avantage était que je changeais de partenaire presque tous les jours.. Ne croyez pas que c’était 7/7 et 365 jours par an.. il m’arrivait de passe des soirées seul.. ou avec des amis. Mais je dois avouer que plusieurs années de suite furent très remplies.Une des mes conquêtes disons mature, avait donc 56 ans, belle femme très belle et qui prenait un soin presque maladif de son corps. Je l’avais rencontrée dans le cadre de mes activités sportives, son mari directeur de banque avait eu envie de faire du tir et c’était inscrit dans le club dont j’étais secrétaire. Elle avait participé à une parie de réjouissances dont nous avions le secret, brochettes, méchoui et surtout un bal. Franchement voir arriver Monique ( non on ne rit pas) en tailleurs, haut talon pour venir partager nos merguez ( non pas celle là pas encore.. )était du plus haut comique. Elle était d’une gentillesse incroyable, et nous étions au petit soins pour elle moi surtout.. Je serais incapable de dire si elle était vraiment blonde ou brune l’ayant vue de toutes les couleurs et comme son minou était totalement glabre je serais bien incapable de le dire.. peut être avait elle des cheveux gris, sans doute même mais je n’en vis jamais un seul. C’est le soir du bal ou tout se mit en branle (si j’ose dire). Elle était venue avec son mari, fiesta annuelle du club le bal demandait beaucoup de travail et je participais en tant qu’organisateur. Mais une fois la fête lancée nous avions nos moments de calme.. Et Monique je dois avouer que je tournais autour d’elle depuis un moment déjà, je sentais qu’elle appréciait le brin de cours que je faisait. Je l’invitais à danser, elle acceptais de bonne grâce en souriant. Un slow sinon je n’aurais jamais tenté l’invitation étant a peu prés aussi bon danseur qu’un grizzly. Et là.. au bout d’une minute a peine je savais que je terminerais au lit avec elle à un moment ou un autre. Elle se serrait contre moi, m’enlaçait sans se soucier de son mari qui je dois dire soi s’en moquais soit ne voyait rien, je compris après qu’il s’en moquais car il appréciait beaucoup plus les jeunes hommes.. ( chose que je ne pouvais comprendre a cet époque..). Une chose est sure Monique se plaquait contre moi , je sentais ses seins contre ma poitrine, son ventre se frottait contre le mien et naturellement je ne sais pas résister à cela je me mis a bander comme un cerf. Elle sentait bien évidement que je n’étais pas indifférent. Nous étions joue contre joue quand elle me murmura « je sent que je te plais », je murmurais que « oui et que j’aurais du mal a le cacher ». Elle susurra, « je vais aux toilettes rejoint moi dehors ».Je ne me fis pas prier, et je m’éclipsais pour retrouver ma conquête. Je la repérais pas loin des toilettes, dans ce cellier immense nous avions tous loisir de trouver çekmeköy escort un endroit calme. Une pièce vide avec un petit bureau au milieu nous tendait les bras, dans la pénombre. Elle me prit par les mains je la prenait par la taille qu’elle avait très fine, et sans un mot elle se laissa embrasser, un baiser profond sa bouche avait un goût sucré et fruité. Au bout d’un moment elle me regarda et me dit « tu sais l’âge que j’ai? Çà te gêne pas? » Je me pressais contre elle, ma queue était toujours dure. « tu sent comme cela me gêne » Elle rit de bon cœur, je commençais à glisser ma main sous sa jupe « Non pas ici, je préfère mon confort à mon age, tu est si pressé? » Et posant sa main sur ma bosse elle ajouta « Je ne peux pas te laisser comme çà c’est sur.. » Elle ouvrit mon pantalon sorti mon sexe et se laissant glisser le long de moi me prit dans sa bouche. Elle me pompait comme une folle, non pas pour se débarrasser de la corvée mais c’était sa façon de faire, elle avait toujours les yeux levés vers moi savourant chacune de mes mimiques guettant le moment ou j’allais partir. Ce qui ne tarda pas et loin de se sauver ou de me finir à la main elle me regardait la bouche ouverte mon gland sur sa langue et me fit jouir pendant que je la regardais. Gardant tout dans sa bouche, se léchant les lèvres.. Elle avalait mon jus avec plaisir. Puis elle se releva et vint poser sur ma bouche un baiser qui pour la première fois me fit connaître le goût du sperme. Elle me laissa son tel et me donna rendez vous dans la semaine qui suivait.Revenus dans la salle, la fête continuait de battre son plein, je dansais encore une fois avec elle et avec délice sur de la promesse de la revoir et complice d’une étreinte plus que furtive. Je me souviens nettement qu’entre le bal et notre premier rendez-vous l’attente fut longue. J’avais vraiment craqué pour cette femme. Son age n’avait rien de gênant pour moi, je m’attachais qu’a mes sensations, je la désirais, elle était attirante, un peu mystérieuse, sa plastique beaucoup de filles plus jeunes pouvaient la lui envier. J’ai pu en juger et peut de femme peuvent s’enorgueillir d’un tel corps a cet age. Monique était svelte, la taille fine, des seins étaient fermes avec des tétons a se damner, j’ai toujours un faible pour les bouts de seins foncés, long et gros. Avec Monique je me régalais ses pointes était énormes, toujours dures très sensibles, la peau granuleuse et foncée. Elle ,ne se satisfaisait pas de caresses mièvres, elle aimait les manipulations viriles, adorant être tirée par les bouts de seins ou les sentir pincés voir un peu écrasés ou mordus. Monique était de celle que ce genre de manipulations bien appliquées , menait à l’orgasme. Je passerais sur notre premier rendez vous qui s’il fut torride n’en fut pas moins que très classique. Nous avons passé l’après midi et la soirée a faire l’amour dans l’appartement, sur le lit, la table, sur le sol je l’ai quittée épuisé. Elle me dit « toi il faut qu’on se revoie vite la manière dont tu me mange le minou c’est vraiment divin, mais tu est un peu timide » Je cherchais en quoi j’étais timide… jeune un peu con et la grosse tête je pensais que je baisais comme un dieu alors que j’avais beaucoup de choses à apprendre même si je me débrouillais pas trop mal.C’est lors de mon second rendez vous avec Monique que je connus des choses que plus tard je ferais découvrir à pas mal de partenaires, plus curieuses que d’autres.Le mari de Monique était absent et nous avions tous le WE pour nous éclater, j’avais appris cette nouvelle avec enthousiasme, j’avais vraiment un faible pour cette magnifique femme. Ne pensez pas que nos seules relations se résumait à des parties de jambes en l’air même si invariablement nos rencontres se terminait quand même ainsi, nous avions d’autres loisirs. Et Monique adorait s’afficher avec moi en ville, rencontrer des amis, elle était sans honte, et provocatrice. Je ne compte pas le nombre de fois ou elle me présentait carrément à ses amies comme son amant, elle faisait souvent mon éloge, conseillant de prendre un jeune amant. Jamais je n’ai profité de l’occasion pour lui être infidèle, pourtant un nombre incalculable de fois ses amies on tenté de passer du temps avec moi. Certaines auraient été a mon goût mais je la respectait trop pour lui faire cela. Je me suis longtemps posé la question de mes sentiments envers elle, ce n’était pas neutre, mais nous avions la lucidité suffisante pour savoir que l’écart d’âge nous imposait de toute façon une relation courte. Elle était honnête et m’avais laissé libre d’avoir d’autres femmes dans ma vie, des filles de ton âge avait elle dit. Mais tout au moins dans les premiers mois de notre relation je préférais me consacrer totalement à elle. Je crois que malgré tout j’étais un peu amoureux d’elle et je n’avais pas le besoin d’autres caresses que les siennes.Nous avions donc tout un week-end à nous.. Nous devions souper au restaurant. Monique était gourmande et adorais les bonnes choses de la table et du sexe, j’ai appris beaucoup de choses dans ces deux domaines avec elle. Mais elle m’avait dit de venir en tout début de l’après midi du samedi…Elle vint m’ouvrir la porte de son appartement en déshabillé. Noir et diaphane il ne cachais rien de son corps il le mettait en valeur. Sans crainte d’être vue elle restait dans l’encadrement de la porte, balançant ses hanches. « Ça te plait? » puis baissant les yeux vers mon sexe qui tendait déjà mon pantalon, elle hocha la tête s’avança vers moi et me pris dans sa main m’attirant dans l’appartement.A peine entré je la prenais dans mes bras, je la plaquais contre le mur et nous échangeons un long baiser tandis que mes mains la caressait.Monique était de ces femmes qui aimait les mots crus, elle aimait qu’on lui parle pendant l’amour. Au début j’avais eu un peu de mal avec çà mais je m’aperçus rapidement que cela m’excitait aussi.Je sentais ses mains fébriles ôter ma ceinture, et mon pantalon rejoignis le plancher. Avec un petit effort, car ca ne venais pas toujours naturellement je lui dit « Suce moi salope » Je vis l’étincelle de plaisir dans ses yeux bleus. La bouche entrouverte, frémissante, elle se laissait glisser le long de moi pour happer ma queue dure. C’était un délice elle suçait d’une façon unique, assez violente allant en venant rapidement, me prenant au fond de sa gorge.Je ne suis pas un âne, j’ai un sexe de taille moyenne 13 ou 14 cm pas plus assez épais . Aucune partenaire ne c’est plainte du trop peu.. parfois certaines ont fait la grimace quand j’empruntais l’entrée de service. Deux femmes m’ont posé problème, une jolie eurasienne dont la chatte était étroite en diable et qui préférait que je la prenne par derrière et ma petite Camille qui se contractait tellement que cela nous posait problème au début, mais je parlerais d’elle plus tard si j’en ai le courage.Monique me pompait agenouillée dans le couloir, j’avais ôté mes vêtements qui se trouvaient maintenant en vrac sur la chaise opportunément présente. J’avais maintenant envie d’autre chose, et je ne désirais pas jouir dans sa bouche ce qui serait arrivé si elle avait continué a ce rythme encore une minute. Je la relevais, et du pouce j’enlevais toute la salive qui luisait sur ses lèvres, avant de l’attirer vers la chambre. Elle se laissa aller sur le lit, après avoir ôté son déshabillé. Prenant ses chevilles j’écartais largement ses cuisses, sa chatte sans le moindre poil avec ses petites lèvres foncées qui dépassait largement les grandes étaient déjà toutes luisantes. « Tu est mouillée espèce de cochonne » Elle me regardait intensément avec ses deux mains elle écartait les grandes lèvres ouvrant sa chatte en grand. Son bouton était dressé et bien visible, luisant et gonflé déjà. « Mange moi chéri , fais moi gueuler » Monique une fois excitée devenait grossière, ordurière alors qu’elle était la politesse même dans la vie courante. C’est vrai que la pipe qu’elle venait de me faire lui avait fait de l’effet, elle était de cette race de femme qui prend vraiment du plaisir à certains actes, et la fellation la mettait dans tous ses états. Souvent quand elle m’avait pompé a fond et avalé tout mon sperme il suffisait de quelques caresses pour qu’elle atteigne l’orgasme a son tour. Elle adorait ma langue, elle disait que jamais aucun homme ne lui avait autant donné de plaisir de cette façon(çà je le crois car on me l’a souvent dit après). Elle m’appelait souvent ma « langue de velours ».Je m’agenouillais entre des cuisses, et je commençais à lui lécher le bouton, il était tendu, gonflé gorgé de sang, totalement décalotté comme un petit gland. Elle se mit à onduler des hanches, à lancer le bassin en avant enfouissant mon visage dans sa chatte béante. Monique poussait de longs gémissements entrecoupés de cris. Je glissais deux doigts dans sa chatte qui se crispait instantanément sur cette pénétration. Elle se redressa sur les coudes me regardant et dit « Enfonce moi ta main !!» JE n’avais jamais pratiqué ce genre de choses et je dois dire qu’a cet époque il était rare de le voir dans une revue ou un film.. le fist n’avais pas la notoriété qu’il à de nos jours. J’ai du avoir l’air niais, car elle s’énerva un petit peu.. « Mais si !! vas y essaye.. » J’avais peur de lui faire mal mais à l’évidence mes deux doigts étaient au large.. je fouillais son vagin palpitant, elle mouillais de plus en plus, son jus devenait plus épais moins transparent. Je prenais un réel plaisir a la fouiller ainsi, j’ajoutais un troisième doigt qui trouva sa place sans problème. Plus je la pistonnais plus elle s’ouvrait. maltepe escort Je continuait à la bourrer de plus en plus fort, elle se cambrait se redressait pour voir ce que je faisais. « Défonces moi chéri, éclates moi » criait elle. Un quatrième doigt avait rejoint le trio..Avec mon pouce je lui massait le clito tandis que je la pistonnais de mes 4 doigts en faisceau. J’étais de plus en plus excité. Ma queue était tellement tendue que j’étais totalement décalotté, mon gland frottant contre les draps j’avais beaucoup de mal a ne pas gicler. « Ta main enfonce là vas y toute ta main » criait elle. Je repliais mon pouce dans ma paume et je continuais a forcer son con gluant. Elle mouillait énormément heureusement sinon cette pénétration lui aurait causé beaucoup de souffrances. Je n’osais pas forcer véritablement je profitais des spasmes pour gagner quelques millimètres. Elle gémissait se tordait de plaisir et non pas de douleur, mais a cet instant j’avais du mal a faire la part des choses.. Visiblement elle impatientait, a un moment se mettant presque assise elle agrippa mon poignet et d’un coup sec fit pénétrer ma main en entier en poussant un cri de bête. La sensation était incroyable. Ma main était enserrée dans les muscles de son sexe qui palpitaient. J’étais presque poing fermé maintenant. Monique était en transe, ses yeux retournés elle jouissait. Ma main était vraiment compressée, relâchée au rythme de son plaisir qui venait en ondes de plus en plus forte. Son anus lui aussi était de la partie, il s’ouvrait spas modiquement au fil des contractions. Elle inondait le lit. Nous seulement elle mouillait mais la pénétration pensais je la faisais pisser ( j’appris plus tard que ce n’est pas tout a fait vrai). Je ne tenais plus.. J’étais resté coït, tout à l’action mais maintenant j’étais trop excité… « Jouis salope, vas y crie, je vais te gicler dessus » J’étais agenouillé prés d’elle ma main enfoncée profondément en elle. Mais j’étais a portée quand même.. Elle se redressa agrippant ma queue tendue et m’attire vers elle.. « Viens jouis dans ma bouche remplis moi la gueule » Et en a peine quelques allez retour elle me fait gicler sur sa langue, la bouche grande ouverte, je vois les giclées qui coulent dans sa gorge, maculent ses lèvres, ses joues ses cheveux même.. Je sent sa chatte qui s’ouvre plus encore et je retire ma main elle pousse un cri tandis qu’un jet d’urine s’écrase sur le sol.. Son sexe est largement ouvert, le col de l’utérus est nettement visible, un nectar laiteux et épais s’écoule lentement vers son anus, ma main en est couverte mon poignet porte un bracelet mousseux blanchâtre.. Monique est en nage, elle m’attire vers elle et m’embrasse, sa bouche est encore pleine de sperme. Elle m’avait déjà fais gouter lors de notre premier échange amoureux mais là c’est autre chose, et loin d’être dégoutté je suis excité et je me laisse faire léchant ses joues, ses lèvres pour recueillir ma propre semence. Je me suis surpris, mais j’ai aimé, ceci explique peut être des choses.. une prédisposition peut être.. mais je n’ai jamais rechigné à gouter mon sperme sur une bouche, un sexe, des doigts ou un anus.En une seule soirée, j’avais fait deux choses qui ne m’était pas encore arrivé, le fist qu’elle me fit découvrir et que j’apprécie toujours, partager gouter le sperme également était une nouvelle expérience. En ce qui concerne le fist Monique m’initia également au fist anal, qu’elle aimait beaucoup. Ce fut une de nos pratiques préférées durant la petite année que dura notre relation. Nous nous voyons assez régulièrement et elle n’hésitait pas à me tel dés qu’elle avait un moment et j’accourais. J’ai vraiment adoré cette femme, je savais que c’était éphémère mais en réfléchissant j’étais sans doute un peu amoureux. Je n’ai pas un gros effort a faire pour me rappeler son visage, ses yeux, et cette bouche qui m’a fait défaillir tant de fois.. Monique était capable de me sucer non stop pendant des heures.. et elle c’est amusée plus d’une fois a me faire jouir 3 ou 4 fois de suite dans sa bouche sans me laisser de répit.Mais Monique m’initia aussi dans un domaine que pas mal d’hommes refusent le plus souvent. C’est cette belle femme mure qui me fit prendre conscience qu’un homme pouvait avoir énormément de plaisir si on s’occupait de son anus.. Hé oui.. a l’époque toucher a mon trou du cul pour parler crument.. mais vous êtes habitués maintenant… C’était pour moi pas envisageable.. Petit a petit Monique m’avait habitué à la laisser me passer un coup de langue, et a remonter le long de mes couilles quand elle me suçait, puis elle revenait mettre la pointe de sa langue dans mon cul .. J’ai eu du mal au début à accepter surtout qu’elle prenait un malin plaisir a venir m’embrasser juste après.. Elle avait remarqué que j’avais un léger mouvement de recul qui l’amusait, mais j’aimais trop ses baisers pour les refuser.Un soir donc elle s ‘activait sur ma queue comme très souvent et passait de petits coups de langue sur mon petit trou, je bandais comme un fou déjà. Je senti le bout de son doigt qui caressais mon anus. Je tentais de repousser sa main, doucement.. Elle me mit une tape et me dit « Idiot, laisse toi faire fais moi confiance, décontracte toi.. » Elle me suçait de plus belle et je sentais son doigt qui tournait autour de ma pastille, au bout d’un instant je senti une pression et instinctivement je me contractait. « Laisse toi faire mon chéri tu va aimer je te promet » Pas vraiment convaincu je décidais de laisser venir.. et si ca n’allait pas je lui dirait stop. Ce n’est pas facile de se décontracter quand on s’attend a un truc désagréable.La pipe était comme toujours sublime, ma queue luisait de salive, j’étais très dur, de sa main gauche elle me serrait la base au point que mes veines saillaient, mon gland était rouge foncé. Je sentais son doigt qui tournait autour de mon anus, puis doucement elle commença a le faire pénétrer, je faisais des effort pour ne pas me contracter, son doigt se mit a se promener en rond à l’orée de mon petit trou. Conjugué à la succion de ma queue, c’était plutôt agréable, puis je me laissais aller, son doigt commençais à me pénétrer faisant naitre des sensations inconnues pas désagréables loin de là.. Elle me pompait et son doigt me fouillait, j’avais les doigts de pieds recroquevillés.Au bout d’un moment je trouvais la caresse anale plus qu’agréable, en fin de compte sentir ce doigt me fouiller faisait monter la pression.. Je n’avais encore rien vu du moins senti car dans ce coin j’ai du mal a voir. Je voyais Monique me surveiller du coin de l’œil avec une mine de chatte gourmande. « C’est bon? » je répondis dans un souffle car je commençais a perdre un peu pied. « Bouge pas ca va être meilleur encore ». Je n’eus pas le temps de réagir, je sentis un deuxième doigt se joindre au premier, aucune douleur que du plaisir a cette deuxième intrusion. Ses doigts commencèrent a s’enfoncer plus loin en moi, Monique ne me suçais plus mais gardait ma queue serrée et décalottée, attisant mon désir par de tous petits et lents mouvements. Alors que ses doigts me pénétraient.. Soudain ce fut un frisson intense qui me parcourus, je ne savais ou elle avait mis ses doigts ce qu’elle touchait mais la sensation était violente, mais idyllique . Ma queue se tendait et je sentis monter quelque chose le long de ma tige comme si j’allais jouir mais c’était moins rapide, plus calme. Je vis alors une grosse goute transparente se formait sur mon gland, goutte qui se mit a couler le long de ma queue. Un autre mouvement de ses doigts même sensation, un écoulement presque continu naissais maintenant. Elle accentuais son massage, je sentais l’écoulement partir de loin dans la base de ma queue, monter dans l’urètre et s’épancher autour de mon gland. Cette foi je perdais vraiment pied, c’était un peu comme si on étais dans l’état de l’orgasme, mais au ralenti. J’avais le souffle court je voulais que ca dure et j’avais envie de gicler et de faire retomber toute la pression. Au contraire elle grimpait de plus en plus, maintenant l’écoulement provoquait de long filaments visqueux qui gouttaient sur mon ventre dévalaient le long de ma tige, maculaient les doigts de Monique qui les yeux brillants ne perdait pas une miette de mon plaisir. C’était infernal ment bon. Ce jeu dura longtemps, une bonne demi heure environ. Au bout d’un moment l’écoulement devenais laiteux, ma queue tressautais j’étais agité de convulsion tout bonnement. Je me tordais littéralement sur le lit la suppliant de me finir. Ce qu’elle fit au lieu de me sucer elle commença une lente traction vers le bas décalottant ma verge comme jamais, la pliant au risque de rompre le frein, tout en appuyant son massage.. Et ce fut l’explosion, je hurlais littéralement comme jamais quand l’orgasme arriva enfin, c’est un geyser de sperme qui fut propulsé en l’air j’en recevais partout sur la poitrine le visage, le lit était constellé de taches , le mur et le papier peint avait aussi bénéficié de mes largesses.. Je n’avais jamais éjaculé aussi violemment ni en aussi grosse quantité.. J’étais incapable de bouger de dire un mot.. Monique vint poser ses lèvres sur ma bouche et la cochonne me posa les doigts qui venaient de me fouiller sur mes lèvres, je les pris dans ma bouche pour les sucer sans poser de question.. Elle venait de me donner mon premier massage de la prostate et faire tomber un tabou, mon anus pouvait servir.. a prendre du plaisir.Nous avons renouvelé ce jeu assez souvent, et Monique m’initia à la sodomie masculine, en me faisant gouter de petits vibro masseurs qui sur la prostate on un effet miraculeux!! Essayez c’est si bon.Monique fut encore une fois une maitresse qui me fit découvrir des tas de choses, et en analysant nos rapports, nos jeux je me suis rendu compte qu’elle me dominait assez clairement et que j’ai beaucoup aimé çà.. Je n’en étais pas conscient mais cela a sans doute eu son importance par la suite.

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