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Chap. XIV “Découverte”999999*mo=== Chap XIV ===La première semaine après ce Week End où je l’ai rencontrée, fut vraiment difficile. Surtout je ne pouvais pas chasser Viviane de mon esprit, elle occupait tout l’espace, j’étais incapable de penser à autre chose, incapable de me concentrer vraiment sur mon boulot. C était également le cas pour elle. Nous passions notre temps au tél, à nous abreuver de mots doux. Viviane était à vif, le simple fait de lui dire que je la trouvais belle, ou que je l’adorais suffisait à lui tirer des sanglots. Elle était d’une sensibilité extrême, fragile, vulnérable. Plus nous nous livrions l’un à l’autre plus je l’aimais. Elle s’oubliait totalement, ne pensant qu’a me faire plaisir, elle ne songeait qu’a moi pas à elle. On aurait dit qu’elle ne comptait pas que c’était seulement moi qui devait prendre les décisions et elle se ralliait toujours à ce que je disais. Petit à petit je sentais qu’elle avait tendance à me mettre un peu sur un piédestal. Je n’étais pas habitué à çà, mais pour tout dire ce n’était pas désagréable. Il nous fallait patienter toute la semaine pour nous retrouver. J’avais déjà pris mes dispositions et elle aussi. Vendredi soir à 18h00 je sauterais dans la voiture et quelques heures après je pourrais la serrer dans mes bras.Je pense que jamais une semaine ne m’a paru aussi longue. Pourtant nous passions des heures au téléphone. Le moindre moment de libre et je l’appelais, de son côté elle faisait pareil. A cette époque le téléphone portable n’existait pas et c’est bien dommage. Nous n’avions passé que quelques heures, une nuit ensemble et déjà on parlait de l’avenir. Le plus proche les vacances d’été n’étaient pas loin.. un mois que nous pouvions passer à deux. On se retrouverait en aout, on irait dans le midi, au soleil cette perspective nous remplissait de joie.. 4 semaines à ne plus se quitter nous qui étions loin de l’autre cela paraissait merveilleux. Durant cette semaine on commença même à parler sérieusement, être séparés de 400km nous savions parfaitement que malgré la passion cette distance risquait de plomber notre relation c’était supportable un temps, mais on ne pouvais envisager construire sur cette base. Il fallait que l’un ou l’autre se rapproche. Pour ma part j’étais favorable et je pouvais tenter un rapprochement, le seul bémol était combien de temps serait nécessaire. Pour Viviane elle avait déjà pris les devant et avait passé un coup de fil au centre hospitalier de chez moi qui est important pour savoir quels besoins en personnels et quels postes pouvaient être libres et à priori il y avait des vacances de poste et elle pouvait espérer venir me rejoindre en un peu moins d’un an. Quand elle m’annonça cela elle était folle de joie.. et moi je n’aurais osé espérer mieux. Bien sur nous passions nos soirées au téléphone, et bien sur nous finissions par devenir coquins.. plus même. Nos ébats téléphoniques prenait parfois des proportions incroyables dont nous sortions épuisés. Ma belle Viviane m’avait avoué qu’elle était de toute façon une adepte de toujours des caresses solitaires. Depuis ses jeunes années elle avait toujours eu tendance à se satisfaire seule quand elle en avait envie. Sur ces années de petite fille Viviane était très discrète et il y eu toujours un mystère, totalement brouillée avec sa famille elle n’adressait plus la parole ni à son père ni à sa mère et n’entretenait que de faible relations avec son frère. Je n’insistais pas et acceptait cette situation tout en sentant une ombre planant sur cette période de sa vie dont Viviane évitait le plus souvent de parler. Donc nos débordements érotiques à distance si elles étaient nécessaires n’étaient bien évidemment pas vraiment satisfaisantes. Pourtant Viviane appréciait beaucoup que je la guide, que je lui demande d’accomplir mes fantasmes ce qu’elle faisait avec entrain et sans jamais se dérober. Heureusement on arriva enfin au vendredi.. A peine la journée terminée je sautais dans la voiture, direction l’autoroute et les bras de Viviane.. J’étais fébrile, impatient nous nous étions parlé au téléphone et ma belle m’avait enjoint d’être prudent. Il était 18h00 il me fallait a peu prés 4h00 de trajet donc je lui avait annoncé que vers 22h00 ou 22h30 je serais tout à elle pour une semaine. Hélas.. c’est toujours au plus mauvais moment que le destin vous fait un pied de nez.. arrivé à mi parcours.. gros ralentissement.. puis arrêt.. au loin des gyrophares bleus et oranges.. Un accident sans doute.. ceci se vérifia quand j’arrivais à hauteur du point d’étranglement qui fut également un point de blocage pendant 1h30.. Je voyais tourner l’heure je n’avais aucun moyen de la contacter puisqu’en ce temps là le portable n’était pas encore né..ou si exceptionnel.. Quand la route fut enfin libre je fonçais sur la voie de gauche pour avaler les presque 200km qui restaient.. j’ai fait une erreur j’aurais du arrêter à une station service et passer un coup de fil. Mais j’étais énervé, envie d’arriver. J’ai un peu tourné avant de retrouver son immeuble. Et enfin j’étais au port. La porte étant ouverte au bas de l’immeuble je montais jusqu’au premier et sonnais à la porte. Elle s’ouvrit vivement et Viviane était là.. méconnaissable, échevelée, le rimmel étalé sur les joues. Son regard qui m’avait tant subjugué semblait fou, hagard. Elle eu un instant ou elle resta figé puis elle se jeta à mon cou en hurlant « Mon chéri!! où étais tu? Je devenais folle!! » Elle se serrait contre moi je sentais son cœur battant à se rompre dans sa poitrine.. Elle avait beaucoup de mal à respirer, a reprendre son souffle. Je refermais la porte derrière moi.. Son appartement que j’avais trouvé si clean et rangé semblait avoir subi l’assaut d’une colonie de vacances plein de choses éparpillées, des revues jonchant le sol, le cendrier renversé sur la table de salon, un verre bousculé avait répandu son contenu sur la moquette.Viviane ne cessait pas de sangloter, de renifler elle me broyait littéralement dans ses bras, ses mains me palpant comme pour s’assurer que j’étais réel.. L’accueil était troublant, impressionnant.. Le pire était la transfiguration qu’elle avait subie, maintenant elle reprenais pied.. mais sur le seuil de la porte j’avais en face de moi une démente.. Petit à petit elle revint eu calme.. je ne pouvais que la bercer la cajoler en lui disant « chut ca va aller, calme toi ma chérie »Enfin je réussissais à lever son menton, son minois tout chiffonné renvoyait une piètre image de la belle jeune femme que j’avais rencontrée. Mais maintenant ses yeux avait repris leur intensité, elle me dévorait du regard, me suppliait de la garder contre moi, remerciait les dieux que je sois là.«  Ma chérie ne te met pas dans cet état là… je suis désolé du retard j’ai été bloqué » expliquais-je« Pardon, pardon j’étais folle d’inquiétude j’avais peur que tu ai eu un accident ou je ne sais pas quoi je savais plus quoi faire. Je suis nulle.. mais c’est plus fort que moi .. je tiens tellement à toi.. je ne peux pas imaginer te perdre.. je t’aime je t’aime je t’aime!!!! » dit-elle dans un souffle, buttant sur les mots bégayant même.J’étais assez désemparé, elle me prenait au dépourvu.. je découvrais une facette de sa personnalité que je n’aurais jamais pu deviner. D’autres auraient peut être même vu là une raison de mettre le fin aux relations. Moi non.. j’avais mal pour elle.. oui j’admets j’ai toujours plus ou moins joué le rôle de l’insensibilité de la force, mais je souffrais vraiment je comprenais ce qu’elle avait ressenti. Je pris son visage dans mes mains, les larmes roulaient encore sur ses joues, son nez coulait, mais peut m’importais.. Je posais mes lèvres sur les siennes.. nous bouches s’entrouvrirent, et nous avons échangé un long très long baiser.. Quand enfin nos bouches se séparèrent, je la regardais droit dans les yeux, et lui dit « Je t’aime, ce ne sont pas des mots en l’air, j’ai besoin de toi, j’ai envie de toi, je veux que nous soyons un couple… et toi? »Viviane me regardait, ce regard intense me perçait jusqu’au fond de l’âme. Son expression se fit douce, angélique on aurait dit qu’elle fondait de douceur et dans un souffle.. me dit« Oh oui… je suis toute a toi » Elle m’avait enlacé, elle me serrait a nouveau comme si je risquais de lui échapper. Ces retrouvailles commençaient sous un tour un peu étrange. Viviane ce confondit en excuses.. elle avait vraiment perdu les pédales, un peu trop bu.. aussi pour calmer son angoisse qui montait alors que mon retard s’accumulait. Effectivement j’avais senti l’odeur du whisky. Cela ne m’avais pas choqué.. Elle avait bu plusieurs verres tandis qu’elle s’affolait. Nouvelle facette que je découvris ce soir là.. Viviane avait une facilité à taquiner la bouteille, cela ne me surpris pas plus que çà car je ne buvais pas que de l’eau à cette époque. On s’était installé sur le canapé, elle était installée confortablement la tête sur mes genoux, ses cheveux épars étaient doux, j’adorais glisser mes doigts, laisser les mèches couler entre mes doigts. Avec un kleenex je lui essuyait le noir qui avait maculé son visage, les larmes avaient tracé des sillons. JE lui rendait un aspect plus conforme à ce que j’avais vu la semaine passée.. Je mouillais le mouchoir avec ma salive pour la débarbouiller.. Elle se laissait faire, comme un bébé, elle était apaisée, elle récupérait de ses émotions. Elle avait vraiment paniqué, j’étais un peu responsable j’aurais du la prévenir le plus tôt possible. J’eus un frisson quand elle me dit avec sérieux que peu de temps avant que j’arrive elle avait failli avaler un tube de somnifères. Je lui pris la tête entre mes mains.. la regardais sans doute plus durement que je ne l’aurais voulu car je vis sa bouche trembler son menton s’agiter comme si elle allait pleurer.. «  Amour, tu te rends compte de ce que tu dis? Jamais çà!! ne le refais Jamais!! » je savais que notre relation était si neuve que je n’avais pas le recul suffisant mais elle m’avait mis un coup au cœur.. « Ma chérie, nous deux c’est tout neuf.. mais je crois que c’est fort, très fort.. il faut qu’on se connaisse mieux on a toute la semaine, on aura toute nos vacances..  pour çà!! » « Tu m’a fait peur tu sais quand tu a ouvert la porte.. je me demandais pourquoi… Ma chérie il ne faut pas te mettre dans ces états là pour un retard.. Il faut être raisonnable et on ne tente pas de se suicider pour quelques heures de retard!! Tu te rends compte.. je dois penser quoi maintenant? »Elle me regardait, buvait mes paroles.. on aurait dit que le fait que je sois en train un peu de la réprimander lui plaisait. « Pardon, pardon mon amour je serais sage maintenant!! je te le promets »Il faisait chaud, j’avais roulé plusieurs heures.. je me sentais pas très net.. Je dis à Viviane que j’allais prendre une douche. Sa réaction me surpris.. «  Tu est sur? une douche maintenant? » dit elle.« Bah oui ma chérie.. je commence un peu a sentir.. non? » répondis-je en riant.Elle ouvrit ma chemise, et mis son minois contre ma poitrine, promenant son nez sa bouche sur ma peau, moite, j’étais plutôt en sueur.« Oh non, j’aime tu sent bon.. tu sent l’homme.. j’adore çà.. » Et du bout de la langue elle léchait ma peau.. « C’est bon c’est salé.. tu n’est pas sale, tu à chaud et j’aime ta peau comme çà.. » me dit-elle en me plantant son regard dans l’âme. Viviane avait retrouvé le calme, maintenant que j’étais là. J’avoue que j’avais été un peu déstabilisé par la v******e de sa réaction. Certes mon retard pouvait être interprété comme inquiétant mais elle avait paniqué sans véritable raison. Mais je le découvirs plus tard, Viviane était excessive dans tout. Pour l’heure elle était en train de me déshabiller, elle me couvait du regard, me mangeait des yeux. Je sentais qu’elle était pleine de désir. Elle ne le cachait pas et me dit «  Oh vite enlève tout çà j’ai envie de toi. » rapidement j’avais tout jeté au sol. Agenouillée devant moi, Viviane prit le bas de sa robe et la retira, dessous elle ne portait rien. Qu’elle était belle, ses seins lourds aux tétons bruns me caressaient les genoux, elle rampa littéralement sur mes jambes, son objectif était mon sexe qui de toute façon était déjà dressé. Elle en approchait lentement son regard était maintenant d’une lascivité peu commune, rien quand la regardant on pouvait voir qu’elle était prête à toutes les folies. Elle était entre mes cuisses, son visage à quelques centimètres de ma queue. Sa main droite s’empara de mon sexe, elle l’enserra entre son pouce et son index en anneau. Le contact me fit frissonner, mais ce n’était rien à côté de l’onde sensuelle qu’elle fit courir en moi quand avec une lenteur calculée elle commença à décalotter mon sexe. Les doigts de son autre main s’emparaient alors de mes couilles, commençant à les pétrir. Je sentais son souffle sur mon sexe. Ses yeux guettaient tous les tressaillements, toutes les mimiques que je pouvais avoir. Viviane adorait savoir quelles sensations j’éprouvais et ce jeu de regards dura tout le temps de notre relation. Très rarement elle fermait les yeux voulant toujours jouir du spectacle. En fait Viviane avait une sérieuse dose de voyeurisme, elle adorait, contrairement à beaucoup de femmes, les films pornos. Pour le moment on se faisait notre film. Sa langue commença à parcourir ma queue dressée, elle me léchait comme un sucre d’orge, sa langue laissant de longues traces de salive sur ma tige. 6J’étais parcouru de frissons, car avec un art consommé Viviane, me branlait imperceptiblement avec sa main tout en léchant mu queue en tous sens. Sa langue s’attardait à l’arrière du gland, sur ce point le plus sensible. Je crus qu’elle allait continuer ainsi c’était à la fois si agréable et tellement fort que cela en devenait presque douloureux. Mais elle cessa et commença à gober mon gland. Sans le moindre arrêt elle engloutit mon sexe jusqu’à ce que ses lèvres touchent ses doigts qui enserraient la base de mon pénis. Je gémis tant la sensation était forte, mon gland était au fond de sa gorge. Sa langue continuais à cajoler ma tige. Elle resta un instant puis commença à remonter. Ses yeux étaient plein de larmes, elles m’avait avalé tellement loin que ses yeux en pleurait. C’était excitant. Elle recommença se manège plusieurs fois, tentant à chaque fois de m’avaler plus loin encore. Les dernières fois elle ne consentais à me laisser sortir de sa bouche qu’une fois quelle avait eu un haut le cœur, elle poussait le jeu à l’extrême. Maintenant les larmes coulaient sur ses joues. Ses lèvres étaient mouillées de salive, elle avait couvert mon sexe d’une chape de salive épaisse presque mousseuse. Elle me pompait comme rarement on l’avait fait.. rarement ou même jamais. Je sentais à chaque allez retour mon plaisir monter d’un cran. Ma queue était durcie, mon gland gonflé, mes couilles dures remontais au bas de ma tige, tous les signes annonciateurs de l’explosion étaient là. J’adorais cette pipe de luxe.. mais je ne pouvais pas seulement me laisser faire. « Arrête je vais jouir si tu continues » dis je doucement Ses grand yeux se mirent à pétiller, une lueur je dirais même salace dans son regard me fit comprendre qu’elle n’allait pas arrêter. Et elle engloutit a nouveau mon sexe a fond.. sans doute le plus loin qu’elle pouvait.. puis me laissa ressortir comme à regret pour mieux m’avaler de nouveau. Cette fois elle accélérait la cadence.. Mes mains étaient sur sa tête mes doigts plongés dans sa chevelure.. A nouveau elle m’avalais a fond.. c’était instinctif mes mains plaquèrent son visage sur mon ventre, je la maintenais l’empêchais de remonter.. Elle manquait d’air, sa gorge s’affolais elle tentait de remonter je la retenais.. mais c’était presque inconscient.. et je me rendis compte qu’elle étouffais.. mes mains la laissèrent se dégager.. Elle reprit son souffle me regardant, de longs fils de salive au coin des lèvres, les bouche trempée.. elle me jeta un regard qui m’invitait à recommencer.. et pour que ce soit plus clair… « Encore.. j’adore.. » me dit elle avant de reprendre ma queue.. Mes mains a nouveau l’obligèrent à aller plus loin à ne pas me lâcher.. Elle s’étouffait à nouveau.. je sentis alors un doigt venir taquiner mon anus.. diable.. Viviane osait tout.. je la laissais faire et les sensations furent décuplées.. Je sentais que je ne tiendrais pas bien longtemps.. mes couilles dures était vraiment remontées à la base de ma queue… Alors qu’elle m’avalait totalement, je sentis monter l’orage, il courrait en moi quand je dit sentir monter c’est au propre, car je sent venir de loin le sperme qui déjà s’épanche un peu avant que les contractions ne le fasse gicler.. Quand Viviane senti mon sperme couler dans sa gorge elle remonta et me laissa gicler dans sa bouche grande ouverte, j’avais perdu pied.. je me laissais aller je lâchais jet après jet mon sperme épais sur son visage, elle prenait un plaisir non dissimulé à me faire jouir sur son minois.. elle ruisselait de foutre, elle recueillis les derniers jets sur sa langue.. Elle m’avait littéralement vidé. Et comme à part nos assaut au tel je n’avais pas eu de vrais rapports durant une semaine, l’abondance bahis firmaları était au rendez vous.. Je ne sais pas si tout le monde est comme moi mais après une période d’abstinence plus ou moins longue mon sperme est particulièrement épais et abondant mais surtout l’éjaculation est presque douloureuse.. dans ce cas je sent les jets monter du fin fond de mon ventre et je peut sentir tout le parcours avec acuité. Là c’était le cas.. . Viviane était littéralement couverte de foutre qui ruisselait sur ses joues le long de son menton pour goutter au creux de ses seins. Elle était aux anges et son regard en disait long tandis que je revenais de cette délicieuse petite mort. Ma queue toujours dressée la narguais. Elle n’avais pas encore remarqué que malgré un orgasme, je restais dur et utilisable.. Je l’attirais à moi. J’avais envie de l’embrasser de lécher le foutre qui brillait sur ses lévres.. j’espérais ne pas la choquer. «  Tu est belle comme çà » dis-je puis « Viens je vais te nettoyer »Son regard se fit interrogateur, puis une lueur sensuelle s’y alluma. J’attirais son visage prés du mien, ma langue léchais les trainées grasses de sperme, je léchais ses lèvres, ma belle Viviane se pâmait, se laissant nettoyer de cette délicieuse preuve de mon émoi. C’est avec lascivité qu’elle se laissait manipuler. Je l’avais couchée sur le canapé et m’étais placé sur elle, ma queue frottait son ventre tandis que je continuais le nettoyage de sa frimousse avec ma langue. Viviane était un concentré de sensualité, sa façon de se frotter à moi, ses regards, ses poses tout était sensualité en elle. D’aucun aurait dit que c’était une allumeuse, une salope.. Oui elle était salope mais c’est un vrai compliment. Viviane aimait le jouissance, le plaisir elle cherchait toujours le frisson de plus ce qui lui donnerait un plaisir plus grand.. Elle ondulait sous moi, frottant son ventre contre ma queue. Elle réussissait à me branler simplement par le mouvement de son bassin. Ma queue était dans le triangle de ces cuisses, mes couilles battaient sur son minou que je sentais humide, ma tige se frottait contre son bouton saillant et mon gland frottait sur son petit ventre. J’allais bouger et me mettre en position pour la pénétrer, elle me retint et me jetant un regard qui aurait fait jouir n’importe quel puceau elle me dit « Non reste, là je te sent bien je vais te faire jouir » elle se mordait les lèvres car ma queue frottant sur son clitoris lui donnait le frisson à elle aussi. Nos bouches se mangeaient mutuellement. Viviane avait le visage toujours luisant, de longues coulées brillantes là ou mon sperme avait coulé marquait son visage, des cheveux collaient à son front, nous avions chaud également la sueur faisait briller nos peaux.C’était très a****l, nous ne parlions pas, nous gémissions, poussions des grognements de satisfaction. Elle ondulait lentement des hanches, ma queue coincée entre nos deux corps était littéralement en ébullition. C’était lent, chacun de nous mourrait d’envie de précipiter le mouvement mais nous avions assez de perversité pour ne rien brusquer, nous étions en train de mettre nos nerfs a vifs. Chaque frottement nous faisait faire un pas de plus vers l’extase, les pointes de ses seins durcies traçaient des arabesques sur ma poitrine. J’avais un mal fou à ne pas précipiter les choses.. ma queue était sensible à l’extrême. Mon gland commençait même à être un peu douloureux. On étaient tous les deux maintenant trempés de sueur et nos ventres serrés l’un contre l’autre étaient encore plus chaud et humides. Je sentais la sueur couler le long de mes fesses, au creux de mon dos le long de mes flancs, mon front aussi , des gouttes de sueur tombait sur le visage extatique de Viviane.. Ses soupirs, ses mimiques tout ce qu’elle me montrait d’elle m’excitait. Je commençais à penser que la belle n’était pas aussi conventionnelle que je l’avais pensé au départ et que je pourrais parler avec elle de mes frasques.. mais nous en étions pas là. Je ne sais pas quel spectacle nous donnions mais cela de vait être assez étrange, car nos mouvement étaient pas imperceptibles, mais tellement mesurés et lent que la vision de nos deux corps se frottant l’un à l’autre devait être assez surprenant. Pourtant le plaisir qui en naissait était puissant. Je sentais que ma queue commençais à mouiller et mon gland glissais entre nos deux épidermes sur cette liqueur. Au point que Viviane, me murmura d’une vois rauque « Tu a jouis? » J’eus toute les peine du monde a lui dire « Non pas encore continue »Je sentais son clito tendu qui se frottais contre la base de mon sexe. JE sentais nettement ce bouton si gros, si sensible. J’avais déjà eu des partenaires dont le clitoris était imposant mais Viviane était sans doute celle qui avait le plus beau de toutes, le plus beau et le plus gros Pour vous donner une idée regardez votre pouce c’était la taille de la première phalange.Viviane était parcourue de frissons de plus en plus forts, moi également. Lentement nous nous acheminions vers le plaisir.. cela faisait maintenant 15 a 20 minutes que nous étions l’un contre l’autre. Nos nerfs étaient à vif il fallait nous contrôler pour ne pas accélérer nous mouvements. Plusieurs fois Viviane avait susurré « Doucement, doucement » Alors que par instinct mes reins tentaient de presser la cadence. Sa respiration étaient saccadée, ses yeux rivés dans les miens commençait à chavirer, je laissait Viviane contrôler tout, elle mordait ses lèvres, elle me prit la tête entre ses mains, pour que je ne puisse détourner mon regard, et agissant ainsi elle savait que je ne fermerais pas les yeux.. Elle se cambra donnant de grand coups de pubis contre ma queue, elle poussa un cri étranglé tandis que ses yeux devenaient presque vitreux.. la bouche ouverte suffocante.. elle jouis contre moi ses jambes se dégagèrent et enserrant ma taille me forçait plus encore contre elle.. Ce fut pour moi le signal de la libération.. mon foutre giclais entre nos corps, serrés, les giclées se succédait, inondant nos ventre collés l’un à l’autre, s’écoulant le long de ses flanc. Comme nous n’avions pas cessé de nous frotter l’un à l’autre, une mousse blanche maculait nos ventres .. Nous avions vu dans les yeux de l’autre le plaisir nous terrasser.. J’avais violemment jouis très violemment. J’eus la désagréable sensation que Viviane si elle avait pris du plaisir de toute évidence ce n’étais pas la grande extase comme ce que je venais de ressentir.. Après avoir repris mes esprits, je lui demandais même si elle avait apprécié. Elle enfouis son visage dans mon cou en me serrant très fort et en me disant que oui. Son minou était bel et bien mouillé mais j’avais vu des femmes plus ruisselantes après un orgasme fort. Mais nous n’étions encore que des inconnus l’un pour l’autre et il faudrait encore un peu de temps pour se découvrir. Savoir ce que l’autre apprécie, savoir comment le faire jouir cela ne s’apprend pas en un quart d’heure, ni une heure ni même en une journée. Savoir guider l’autre sur le chemin du plaisir prend du temps. Certes dans les soirées, nous nous donnions du plaisir mais les plus fortes sensation on les a sauf rares exceptions avec celle qui nous accompagne dans la durée. Dans les soirées on tire souvent son plaisir de la situation plus que des caresses, souvent c’est la nouveauté, la perversité de la situation plus que le savoir faire de l’autre. Ça c’est réservé à nos compagnes.. Nous étions dans un bel état, Viviane, allanguie sur le canapé, les cuisses ouvertes sans pudeur, la peau maculée de traces de sperme, la sueur coulant en petit ruisseau brillants sur ses flancs, ses joues ou le foutre avait laissé de long sillons presque secs maintenant, ses cheveux également était collés à son front.. Moi aussi je me sentais vraiment dans un état la sueur trempait ma peau, mes poils était collés contre cette peau moite, mon ventre qui avait reçu mon plaisir était couvert de traces de spermes là les poils étaient empoissés de foutre, ma queue encore tendue luisait dans la lumière. « On est bon pour la douche.. maintenant » dis-je« Mais tu pense qu’a çà »me répondit Viviane en riant.. « Tu est beau comme çà.. je t’adore tu m’excite » ajouta -t-elle.Je me devais d’être honnête, la voir dans ce état ne me laissait pas de marbre, en fait j’avais toujours l’appréhension qu’elle me trouve un peu trop pervers .. Viviane faisait partie de ces femmes qui n’exigeaient pas qu’on passe à la douche au récurage intensif avant le moindre câlin. Elle acceptais la nature tout comme moi. Il est vrai que parfois en été aprés une balade avec la chaleur, la sueur un minou est parfois plus odorant qu’après une douche mais ce n’était pas gênant pour moi. Mais quand on se connait à peine.. « Toi aussi ma chérie tu me fais bander… d’ailleurs.. » dis-je en prenant ma queue en main.« Humm je vois ..tu est toujours en forme comme çà? » dit -elle avec une mimique amusante.. roulant les yeux comme des billes de loto pour bien me montrer que mon érection permanente l’affolait un peu.. Je lui expliquais tout naturellement les faits que si j’avais la moindre sollicitation ou excitation même après un orgasme je mettais longtemps à retrouver une posture de repos.. Et actuellement il m’était impossible de débander car Viviane, avait glissé sa main entre ses cuisses et se caressais le minou.. Elle me regardait, glissant ses doigts dans sa fente, taquinant son clito, écartant les grandes lèvres d’une main. Elle se masturbais avec application, sa langue passait humecter ses lèvres.. elle semblait apprécier..« Tu aimes que je me caresse devant toi? Ça t’excite? » me dit elle dans un souffle.« Oui j’aime te voir comme çà..c’est bon? » répondis-jeElle hocha la tête avec un regard assassin dont elle avait le secret.. Viviane avait cette capacité de faire passer ses sentiments, des sensations par le regard.. Ses yeux avait une conversation indéniable. Elle pouvait faire passer des tas de messages.. Une fois que nous avions fais vraiment connaissance je savais selon le regard qu’elle me lançait ce qu’elle voulait, ce qu’elle allait faire.. bref une complicité incroyable allait naitre entre nous. Pour l’heure elle m’affolais.. « Tu veux bien te branler mon chéri, j’ai envie de te voir jouir comme çà, j’ai envie de te voir gicler sur moi encore c’est bon »Je n’avais pas attendu sa demande pour faire comme elle. J’étais agenouillé sur le canapé, entre les genoux de Viviane.. Son sexe était de plus en plus mouillé, ses petits lèvres brunes était toutes luisantes de son jus gras, qu’elle recueillait du bout des doigts pour l’étaler sur son clitoris qui saillait de son capuchon. Chez Viviane le clitoris était vraiment la copie miniature d’un pénis. D’ailleurs il était assez gros pour que l’on puisse le branler comme une queue. Son sexe était d’un rose puissant, parfois un spasme ouvrait se sexe largement. Il semblait se dilater avec facilité. Et quand il se resserrait il expulsait une petite coulée de mouille grasse qui au fil des minutes devenait laiteuse et commençais à former un petit ruisselet qui coulais vers son anus palpitant lui aussi.Viviane soupirait, ses seins les tétons tendus ballotaient au rythme de ses hanches. Ses caresses n’étaient pas douces, elle se manipulait rudement même. Plantant 3 doigts dans son sexe elle se fouillait le con, faisant un concert de clapotis. Elle me regardait toujours, je lisait la perversité la plus totale dans son regard.. Elle s’offrait à moi impudiquement, me regardais me branler , elle était toute entière plongée dans un océan de luxure. Elle prenait plaisir à se montrer sous un jour que je n’avais pas vraiment soupçonné. J’avais eu peur de la choquer, de la terroriser mais je voyais maintenant que je pourrais au moins en partie lui narrer mes histoires. « Regarde comme je suis une pute… une salope.. je me fais mouiller la chatte pour toi.. Branle ta queue mon chéri tu va m’en mettre partout.. » sa voix rauque transformée par le désir me fit l’effet d’une décharge électrique ..Ce genre de situation n’importe quel mec en à rêvé, moi j’ai eu la chance de le vivre .. souvent, régulièrement même. Mais c’est toujours un plaisir renouvelé. Viviane était de plus en plus trempée, je voyais avec délice tout son sexe qui exposé à mes regards, expulsais de plus en plus de suc maintenant épais laiteux comme si je venais le la remplir de sperme. Ma main allait et venais sur ma tige durcie, je sentais que comme à mon habitude quand je suis excité je commençais a avoir le gland mouillé. Viviane se tordais de plaisir sur le cuir noir, son clito rougi et dressé luisait en haut de son sexe, les lèvres de son con, trempées, longues crêtes de chair étaient écartelées par les doigts de sa main gauche, me laissant voir l’antre rose de sa chatte, le rose et le blanc nacré de son nectar était un spectacle a nul autre pareil.. On avait envie de plonger dans ce gouffre palpitant. Je me retins de me précipiter sur elle pour la prendre.. Viviane avait le rouge au joues, même le creux de sa poitrine virait à l’écarlate. Ses mimiques plus que sensuelles je dirais pleine d’une perversité assumée me mettait encore plus le feu. Nos souffles courts, nos respirations hachées se faisaient écho. Ma main s’activait avec force sur mon sexe gonflé, mes doigts étaient mouillés par la liqueur qui s’échappait maintenant à chaque fois que je remontais vers mon gland, lubrifiant ma caresse. Mes couilles remontaient vers la base de ma tige, annonçant la prochaine explosion. Viviane commença à pousser de petits cris qui furent suivi d’un autre plus puissant alors qu’elle se cambrait lançant son ventre vers moi.. Elle fut agitée de plusieurs spasmes très violents qui semblait la faucher, la terrasser. Elle était assise, sa main entre ses cuisses serrées, comme en proie à une violente douleur. Son visage crispé, son regard planté dans le mien semblait chargé de fureur. Je n’en pouvais plus et je giclais sur elle, de longues giclées encore épaisses venaient s’écraser sur sa peau luisante de sueur, sur son visage. J’étais en proie à un plaisir extrême.. Un orgasme qui me faisait perdre pied véritablement. Viviane sembla tétanisé un instant la bouche ouverte, suffocante, avant d’être agitée d’un tremblement qu’elle ne pouvait réprimer, elle jouissait avec v******e.. cela dura longtemps vague après vague. Elle se lâchait totalement je me rendis compte que entre ses cuisses une large tache mouillée s’élargissait. Je compris pourquoi elle avait serré ses cuisses. Viviane était une femme fontaine et elle se vidait littéralement sur le cuir du canapé. Je compris à ce moment qu’elle n’avait peut être pas vraiment eu d’orgasme lors de notre première rencontre et que je venais d’assister à un premier véritable orgasme de ma belle Viviane. Elle était toujours effondrée sur le canapé tremblante, totalement hors du monde. Je la redressais, sa tête dodelinait un peu comme sans force, sa chevelure retombant en cascade dans son dos. Elle n’avait presque plus de réaction, comme sans force, molle. Je devais la soutenir pour la prendre dans mes bras. Elle s’agrippa enfin à moi , ses yeux étaient hagards, comme fous. Un instant même je fut inquiet. En fait c’était comme si son orgasme avait déconnecté son cerveau, Viviane était dans une sorte de transe qui pouvait durer quelques secondes ou parfois quelques minutes. Elle se raidit soudain, et m’agrippant avec force pris ma bouche dans un baiser profond. Se détachant de moi elle me dit « C’était super.. pardon, pardon ne sois pas fâché. C’est pas de ma faute si j’ai tout sali.. je vais nettoyer » tout en disant cela elle avait un regard qui me fit une drôle d’impression, on aurait dit le regard d’une bête traquée, comme si elle s’attendait au pire, comme si j’allais avoir une réaction violente. Caressant ses cheveux, je la rassurait. « Mais non ca va, je sais ce que c’est tu aurais juste du me dire que tu risquais de m’inonder si c’était fort » dis-je « D’ailleurs c’est dommage que tu n’ai pas osé m’arroser, j’aurais bien aimé.. » Viviane eut un regard de petite fille, un regard brillant de plaisir pétillant de malice. Et minaudant un peu me dit « C’est vrai? Tu a déjà vu çà? Ça te gêne pas? » Je lui dis que non, j’avais déjà connu des femmes comme elle qu’au contraire j’appréciais. Je comprenais sa gêne, ce n’est pas évident a faire comprendre parfois. J’ai connu des mecs qui étaient totalement rebutés par ce phénomène. Moi au contraire cela me fascinait et m’excitait. Certes ce n’étais pas toujours facile selon les conditions et parfois cela m’avais valu quelques déboires et par la suite avec Viviane m’en valut d’autres. Mais j’avais constaté que les femmes fontaine qui s’assumaient atteignait des sommets dans le plaisir. Avec Viviane, j’avais l’impression que c’était la première fois que je la voyais jouir. Je n’ai jamais dit qu’elle simulait, mais et cela c’est vérifié, après que nous ayons pu parler librement de tout çà, elle prenait du plaisir mais ses orgasmes étaient beaucoup moins intenses voir même c’est vrai limite.. On verra plus tard que les orgasmes les plus intenses que connaissait Viviane elle ne les atteignait kaçak iddaa que dans des conditions très, très particulières. Lovée dans mes bras, Viviane étaient encore parcourue de frissons, elle tremblait, ses lévres étaient agitées d’un tremblement qu’elle ne pouvait réprimer. Tous ses sens étaient à fleur de peau. En bougeant je touchais son clitoris ce qui lui fit l’effet d’un arc électrique. Elle poussa un cri m’enfonça ses ongles dans la peau, elle me regarda avec dans les yeux une lueur étrange. Elle m’expliqua que après un orgasme violent elle était dans cet état on pouvait tout juste la toucher, que dans ce cas elle était hyper-sensible, que c’était douloureux. Je ne compris pas l’allusion quand elle me dit on pourrait peut être continuer mais ca fait très mal. Je la serrait dans mes bras et je la câlinais. Maintenant il était temps que nous prenions une douche.. nous étions très collants l’un et l’autre d’ailleurs on le sentait dans notre étreinte, nos peaux se séparaient à regret. Et nous étions assez odorants l’un et l’autre.. mais ce n’étais pas désagréable au fond. Viviane adorait ces moments ou nous étions exténués.. je me rendis compte petit a petit que j’avais trouvé une amante qui était au moins aussi perverse que moi. On se ressemblait beaucoup en fait et elle comme moi étions vraiment excessifs dans tous les jeux amoureux.Avant de prendre une douche il était urgent de passer un coup sur le canapé, Viviane c’était vraiment donnée à fond, et une large flaque s’étalait à sa place, la moquette également avait trinqué. On épongea toutes ces traces tous les deux, au début elle refusait mon aide, mais elle finit par accepter et c’est en riant aux éclats que nous avons terminé.. Je lui fit promettre de na pas se retenir ou se cacher la prochaine fois. Viviane paraissait soulagée, a priori elle avait toujours été un peu honteuse de cette réaction, je compris plus tard les raisons qui la faisait agir comme elle l’avait fait. Je découvrais peu a peu celle qui était aussi brusquement et rapidement entrée dans mon cœur. Je sentais confusément une somme importante de secrets et de non dit. Mais je n’y attachais pas d’importance me disant que quand le moment serait venu elle me dirait ce que je devais savoir. Je nourrissait à son égard une passion qui peu à peu grandissait. Sa beauté m’éblouissait, ces grand yeux gris pâle m’avaient envouté. Aujourd’hui encore je ne peux vraiment chasser de ma mémoire son regard, la pâleur des iris, ce cercle gris un peu plus soutenu qui cerclait ce gris transparent, lumineux des ses yeux. Et cette capacité à faire passer les sensations, les sentiments. Quand nous avions construit une vraie complicité, je pouvais rien qu’en la consultant du regard savoir de quoi elle avait envie, comment elle se sentait. Avec Viviane on arrivait à se parler sans le moindre mot. Je ressentais déjà également son attachement pour moi, je la sentais capable de tout entreprendre pour me faire plaisir. C’était comme si elle avait besoin de s’en remettre totalement à moi. Viviane malgré son niveau d’éducation, malgré son métier paraissait souvent déconnectée de la réalité. Elle donnait l’impression d’une petite fille perdue, et c’est sans doute en partie à cause de cela que j’avais autant accroché avec elle. Malgré quelques étrangeté, je me sentais si bien en sa compagnie, tout me poussait à vouloir plus qu’une amusette avec elle. J’avais je pense un peu assez de la vie futile qui était la mienne, je voulais quelque chose de stable, de simple, une relation sans histoire qui durerait. Je ne me l’avouais pas encore, mais après avoir perdu l’occasion d’avoir un enfant, je crois que inconsciemment j’avais déjà envie de cette aventure en compagnie de Viviane.Une chose était certaine la semaine qui nous attendait serait sans aucun doute agréable. Nous étions quand même comme de vrais gosses malgré nos 25 ans passés c’était encore du niveau collège.. A se faire des niches à rire de tout à ne rien prendre au sérieux. Mais que c’était bon. La douche fut assez sage, on c’est embrassé, un peu caressé mais sans chercher la jouissance. C’est bon de ne pas à chaque fois passer à la conclusion. Ce caresser s’exciter et passer à autre chose est une façon de faire monter la tension pour le prochain assaut. Ce soir là nous savions de toute façon que nous allions nous retrouver dans les mêmes draps, que le lendemain nous serions ensembles. Nous gouttions ce plaisir simple d’être à deux et nous devions aussi nous découvrir. Malgré tout nous étions encore deux inconnus l’un pour l’autre.. Et moi j’étais inquiet car j’avais beaucoup de mal à me décider de dire la vérité toute crue. Ma vie était tellement bizarre par certains aspects que livrer tout çà à une fille qui à tout ce que je désire c’est prendre un gros risque.En sortant de la douche, comme il faisait bon, inutile de s’habiller, nous restions nus tous les deux. Viviane y tenait, elle me dit qu’elle adorait me voir nu. Pourtant je n’avais rien d’un apollon.. légèrement plus que rond, je comprenais mal quel plaisir elle éprouvait .. Moi je savais pourquoi j’adorais sa nudité. Viviane n’était pas maigre ou filiforme, justement elle avait des formes, des seins lourds mais fermes et ses tétons bruns granuleux aux aréoles assez larges était gros charnus et sensibles. Ses seins étaient ronds j’adorais les pétrir. Sa taille était bien marquée, ses hanches larges un petit ventre rebondi faisait mon délice, doux et sensuel j’adorais ce que souvent les femmes déteste c’est cette petite rondeur. Son pubis orné d’une toison noir de jais comme un triangle indiquant la direction de son minou qui lui était soigneusement épilé. Ce minou était magnifique, ses grandes lévres charnues dessinait un bel abricot, dans le haut de sa fente, on devinait le capuchon de son clitoris, jonction des petites lèvres qui n’avait de petit que le nom chez elle. Ces petites lèvres pendaient et s’échappaient du tabernacle, comme pour narguer le monde. Petites lèvres, crènelées, fripées brunes, souples on pouvait les étirer avec facilité. Quand au clitoris, si au repos il n’était pas vraiment invisible, dés que la moindre excitation survenait il saillait sous le capuchon, se redressant et se montrait dans sa splendeur, gros comme la phalange de mon pouce. Il était d’une sensibilité incroyable, et le sucer, le branler même entre mes doigts était un plaisir sans cesse renouvelé.Je la trouvais si belle, je sais on dit qu’avec les yeux de l’amour tout est beau, mais j’ai vu assez d’yeux d’hommes ou de femme s’allumer en la voyant que je sais que sa beauté était réelle. Belle mais aussi sensuelle, sa façon de bouger, de s’installer, la posture qu’elle avait était toujours empreinte de sensualité. Impudique le plus souvent, coquine, cochonne même, parfois totalement délurée ou pire. Viviane pouvait être femme du monde ou pute. C’était aussi un jeu entre nous. Nous étions heureux ce soir là, de vrais sales mômes. Malgré l’heure. Elle sorti une bouteille de scotch, et deux verres en me disant « J’ai soif, ca m’a donné soif tout çà!! »Elle me servit un verre et un autre pour elle, des doses de goinfres.. puis s’installant confortablement contre moi elle sorti une petit étui en peau avec des feuilles et tu tabac.. enfin.. une sorte d’herbe plutôt. Elle roula un joint, l’alluma et tira une longue goulée. Elle me proposa la chose. Viviane ne savait pas que je n’était pas un adepte. Elle fut surprise et dit « Tu n’a jamais essayé?? Allez si essaye .. tiens » Uniquement pour lui faire plaisir je tirais une fois sur le pétard que je lui rendis bien vite… au delà des effets escomptés le goût me déplaisait souverainement. J’allais chercher mon paquet de cigarette en allumais une pour au moins l’accompagner et ajouter mes volutes de fumée mentholées aux siennes. Le moment était paisible.Viviane semblait avoir une grand habitude de l’herbe et associé à l’alcool ca m’inquiétais un peu. Mais faire la fête de temps en temps ce n’est pas interdit.Après ce moment ou on c’est câliné, le jour se levait. On a tiré les rideaux, je l’ai prise dans mes bras, je l’ai portée sur le lit, allongée lascivement elle a tendu les bras vers moi, écartant les cuisses. Je l’ai prise comme un fou, elle n’a pas eu d’orgasme je voulait lui lécher le minou pour la faire jouir elle m’a dit que ce n’était pas nécessaire que si moi j’étais bien elle était comblée. Elle voulait juste dormir dans mon bras. Elle posa sa tête au creux de mon épaule et épuisés on c’est endormis.Je fut réveillé par une agréable sensation. Comme tous les matins j’avais une érection du diable. Mais en ouvrant les yeux, sortant du sommeil, je sentis une douce et chaude humidité qui enserrait mon gland. Viviane les yeux levés vers moi avait pris mon sexe dans sa bouche et me pompait lentement. Elle me suçait avec art et ne perdais pas une miette du spectacle. Elle cessa un instant sa fellation pour me dire sur un ton enjoué « Bonjour mon amour, je prend mon petit déjeuner ». Et aussitôt elle repartait à l’assaut de mon sexe.. Je bandais bien ,mais savais par expérience que ma belle Viviane allait avoir beaucoup de travail avant de me faire partir. Mais elle s’y prenait si bien que je sentais monter le plaisir. Sa bouche montait et descendait sur ma tige laissant la peau luisante de salive. Viviane avalait mon sexe jusqu’à la garde, certes il n’est pas extrêmement long mais suffisant pour donner le hoquet. Elle masse mes couilles et je sent un doigt me grattouiller l’anus. Elle me regarde dans les yeux alors qu’elle pousse son doigt dans mon anus qui très coopératif n’oppose aucune résistance. J’adore çà… J’avoue qu’a cet instant si l’envie lui prenait de se laisser aller à pousser plus qu’un doigt je serais aux anges. Mais les caresses qu’elle me prodiguait suffisait déjà à mon bonheur. Je tentais de l’inviter à me laisser lui manger le minou dans un petit 69 matinal mais bien qu’elle ai saisi ma demande elle voulait juste me donner du plaisir. Et cela ne tarderait plus. Je sentais monter l’orgasme, l’orage arrivait, bouillonnant dans mes couilles. Viviane me tenait totalement décalotté, sa bouche m’aspirais, me relâchais. Elle avait ralenti le rythme maintenant qu’elle sentait que j’étais au bord de l’orgasme. Je me caressais les tétons qui étaient durs et tendus. Viviane léchait mon gland, l’arrière du gland à petits coups de langue. Mon plaisir montait. Plusieurs fois Viviane cessa toute caresse alors que j’étais sur le point de basculer.. c était terrible, on est sur le point d’arriver au point de non retour et tout s’arrête. Puis elle me reprenait en bouche, m’amenait au seuil du plaisir puis arrêtait a nouveau. Je me tortillais, bougeant le bassin tentant d’atteindre ce point ou la marche arrière serait impossible. Ma queue oscillait, se tendait encore plus. Viviane me regardait avec une mine gourmande. Enfin elle me donnait le coup de grâce, prenant mon gland dans sa bouche elle me branlais lentement tout en léchant la base du gland. Je ne pouvais pas résister. Et je me laisser aller, giclant mon foutre sur sa langue dans sa bouche, elle serrait les lèvres sur ma tige. Elle se laissait glisser plus loin mon gland était dans sa gorge et continuait à cracher son jus. Elle avait les larmes aux yeux, mais elle prenait tout ce que je lui donnais. Elle finit par relâcher mon sexe, il était humide mais pas une goutte de sperme n’avait été perdue. Viviane me regardait, satisfaite ses lèvres brillantes et un large sourire.. « c’est bon » me dit-elle.Quel réveil… c’était un délice.. j’avais envie de lui rendre la politesse mais elle avait envie d’un petit déjeuner. Notre semaine à deux s’annonçait bien, même si le petit affolement de mon arrivée tardive avait jeté une petite ombre. Viviane était au petit soins pour moi, j’avais du mal à intégrer le fait qu’elle était à la fois une petite femme d’intérieur tout en étant médecin. On parlait de son travail, et c’était dur, elle passait son temps avec des gens totalement brisés par des accidents, le pire c’était les enfants. Je sentis qu’elle devait intérieurement énormément souffrir. Mais nous étions là pour passer une semaine tous les deux et nous découvrir mutuellement. Il est vrai que aussi bien elle que moi nous avions été victime de ce que l’on peut bien appeler un coup de foudre. C’était partagé, on avait tous les deux le sentiment que nous avions trouvé chez l’autre ce que chacun cherchait comme idéal ou du moins le partenaire qui convenait le mieux. C’était passé par l’attirance a****le, on avait confronté nos réactions sur notre première rencontre, Viviane me dit que nous avions a peine passé quelques heures ensemble qu’elle savait et avait envie de me ramener chez elle. De mon côté je lui avouais que d’elle je n’avais vu au départ que le regard et que déjà là j’avais envie d’elle sans même regarder plus loin. Puis bien sur faisant connaissance et la voyant je ne pouvais que craquer. Nous avions un point de désaccord.. Elle se trouvait plutôt quelconque, moi je la trouvait divinement belle. Et c’est moi qui avait raison. Je ne trouvais rien chez elle de moins joli ou un peu en retrait. Elle par contre semblait se dénigrer à loisir.. naturellement elle trouvait des kilog en trop, des hanches top larges mais ce qui la « complexait presque » c’était son sexe, elle trouvait hideux les petites lèvres qui s’échappaient des grandes, son clitoris trop gros aussi mais ce n’était rien avec les lèvres de sa chatte. Je lui dit que moi mon physique n’était pas très avantageux, pas très grand, plutôt rondouillard et ajoutais-je une queue plutôt petite. Cela la fit rire et me dire qu’elle n’avait pas remarqué et que l’usage que j’en faisais la satisfaisait. Notre petite semaine de congés s’annonçait plutôt sympa. Le temps était de la partie et le soleil de juin brillait. Elle entrepris de me faire visiter son pays, elle était de la région y était née et elle adorait son terroir. Fille de la ville, elle ne dédaignait pas aller se perdre dans les champs et les forêts et appréciait encore plus les haltes coquines dans les sous bois. Je me rendis compte bien vite que ma belle Viviane était adepte des lieux insolites. Et très coquine. Elle se préparait, pour la première fois elle tressa ses cheveux en une longue natte venant lui caresser la naissance des fesses. Jamais je n’avais eu de compagne avec d’aussi longs cheveux et j’adorais cette chevelure brune, aux reflets bleutés dans le soleil. Elle avait pourtant la peau assez blanche et n’étais pas originaire du sud, mais sa chevelure aurait pu être celle d’une italienne. Je la regardais se préparer, avec application et dextérité elle se maquilla, soulignant de noir ses yeux et pour ses paupières utilisa également du noir ou du moins un gris foncé, ses lèvres prirent la couleur des cerises bien dessinées. Un peu de fard sur les joues. Elle était à tomber. Elle me regarda avec un petit air narquois, ca fait assez filles de mauvaise vie comme çà? Effectivement elle avait un côté un peu putain qui ne me déplaisait pas Tu sais j’aime que les hommes me regardent c’est rassurant.Puis elle enfila des bas d’un blanc immaculé une petite jupe courte en jean arrivant a peine a mi cuisse et un t shirt. Pas le moindre sous-vêtement. Je le lui en fis la remarque. Elle rit doucement, et me dit « ce sera plus facile si on à envie » Comme j’étais en train d’enfiler mon pantalon elle passa le doigt dans l’élastique de mon slip et me dit… « T’a pas besoin de çà »puis glissant sa main a l’intérieur pour s’emparer de mon paquet «  ce serait mieux que ce soit a portée de main » On se regardait l’un l’autre et on étais sur le point de se sauter dessus.. mais il fallait quand même faire autre chose que des galipettes.. et puis l’attente allait attiser notre désir ce qui nous promettais encore plus de plaisir si nous étions sage tout de suite. Et nous sommes partis à l’aventure, pour la journée.. Il faisait beau, elle était belle j’avais du mal à ne pas la contempler et je dois avouer que d’avoir a mon bras cette superbe créature ne me rendait pas peu fier. Surtout quand je compris combien elle adorait être désirée, et qu’elle adorait attiser la convoitise en en montrant un peu plus que ce qui est raisonnable et décent. Viviane était très exhibitionniste. Ce n’était pas pour me déplaire même si nous n’avions pas encore abordé le sujet de nos vies et amours passées. Moi j’avais des cadavres dans les placards, en veux tu en voilà… j’avais à avouer pas mal de choses qui pouvaient remettre tout en cause. Même si elle était coquine, exhibitionniste, un peu allumeuse parfois. Ce n’était que bénin. Moi je devais lui avouer que j’aimais autant les hommes que les femmes, que je pratiquais l’amour de groupe, que en plus j’avais des pratiques extrêmes comme le fist-fucking ou le sado maso. Il est vrai que déballer çà devant une femme dont on est tombé amoureux fou et qui semble être devenue l’unique objet de sa passion. Pas évident de placer entre la poire et le fromage.. «  Ah au fait ma chérie tu sais, j’aime beaucoup pomper des hommes ….”merci repasse moi le sel….” ah aussi me faire défoncer le cul a coup de poing.. ”oui un kaçak bahis peu de purée..”. ou encore j’aime beaucoup les coups de fouets sur la queue.. » Essayez donc de dire çà à votre femme.. vous verrez les réactions.. j’étais dans l’attente. Je cherchais quand je pourrais bien me libérer, tenter le diable. Ne rien dire c’était risquer qu’elle l’apprenne, tout dire c’était risquer qu’elle se braque. Le plus étonnant c’est que elle aussi était dans la même prison que moi. Nous avions l’un et l’autre tant à avouer que nous goutions l’instant présent remettant au lendemain les aveux. En promenade Viviane me faisait découvrir sa région, nous étions un couple d’amoureux banal. Naturellement c’était difficile de faire plus de 500m sans nous embrasser. J’adorais mon bras autour de sa taille, ma main sur sa hanche je goutais le balancement de sa démarche. Et ma main s’égarait souvent sur sa fesse si tentante. A l’ombre des arbres le long d’un canal, nous avons commencé à nous embrasser, nos sens s’affolait, la proximité de l’autre nous enivrait, nous avions envie de sentir nos peaux se frotter, de nous abreuver mutuellement de caresses. Au point que nous étions là un peu isolés et aussitôt le désir explosais. Nos lèvres soudées, nos langues se cherchant, se repoussant, explorant nos bouches faisait s’accroitre un désir déjà non seulement visible mais que nous n’allions pas pouvoir repousser. Ce n’est qu’un vieux reste de pudeur qui nous empêchait de nous dénuder et de faire l’amour là sur le chemin. La peur d’être découverts, les ennuis. Mais la température montait et il fallait trouver une solution. Un gros bouquet d’arbuste en retrait du chemin semblait être un couvert assez sur. Nous nous faufilions vers lui, Viviane s’adossa à un grand arbre. Plaqué contre elle, je caressais ses cuisses, retroussant sa jupe. De son côté elle massait la bosse de mon pantalon. J’étais dur comme un tisonnier et aussi brulant. J’avais glissé une main sous son t-shirt et m’étais emparé d’un sein qui n’attendais que cette caresse. Mon autre main s’égarait entre ses cuisses, jouant avec les lèvres pendantes, j’insinuais mon doigt qui rapidement rencontra une moiteur extrême, plus haut je glissais et heurtai le bouton déjà dur et saillant. Viviane poussa un petit soupir.. Je la faisait tourner, elle était appuyée contre l’arbre je troussais sa jupe étalant à mes yeux sa croupe rebondie, elle se campa les pieds écartés. Je sortis mon sexe, et sans autre formalité je me glissais en elle. Elle gémit aussitôt et j’eus l’impression de glisser ma queue dans un poêle surchauffé, j’avais presque une impression de brûlure.L’excitation était à son comble, on était en pleine après midi, certes un peu cachés mais en pleine ville. Parfois un cycliste passait sur le chemin , on entendait des rires d’enfants. Je la prenais avec vigueur, mes mains glissées sous son t shirt agaçait les bouts de seins turgescent. Comme à mon habitude je pinçait les bouts, la réaction de Viviane fut brusque, elle se mit presque a crier, je remarquais que plus je manipulais avec force ces bouts de seins plus elle réagissait. J’avais peur de lui faire mal, mais j’eus la sensation que même si j’avais été plus fort elle aurait aimé. « Continue chéri, prend moi bien.. »Je n’avais pas l’intention de m’arrêter car j’étais très excité. Je sentais que Viviane mouillais de plus en plus. En fait je pataugeais littéralement, mes aller-retour faisait naitre un bruit de clapot très audible. Quand je ressortais je voyais ma queue luisante et même elle commençait à s’orner d’une couronne mousseuse blanche. Pourtant je n’avais pas encore lâché mon foutre dans son con brulant. Il palpitait se contractait se détendait massant mon sexe dur. « Oui!! c’est bon défonces moi !! » disait elle.Ses hanches ondulaient, sa croupe venait au devant de mes coups de boutoir. Je l’avais empoignée aux hanches et le labourais sa chatte. Je donnais de grands coups, la propulsant en avant au risque de donner des coups de tête dans l’arbre contre lequel elle était arc-boutée. Mes couilles étaient dures et remontaient à la base de ma tige. Ma jouissance était imminente. Viviane.. se dégagea d’un coup, et s’agenouillant elle prit ma queue dans sa bouche.. elle m’avalait, me prenant au fond de sa gorge. Je n’y tenait plus et je crachais mon jus dans cette gorge, de longues giclées qui se succédaient. D’une main Viviane se branlait.. tout en me faisant jouir dans sa bouche.. Puis elle relâcha ma queue encore raide et elle se mit a jouir accroupie, le dos contre l’arbre ses doigts enfoncés dans son sexe béant.. Elle poussait des cris qu’elle ne contenait pas.. et dans un grondement elle jouis.. lâchant de longs jets éclaboussant ses cuisses puis qui arrosaient la terre entre ses pieds .. Je crus que ca ne finirais pas.. a tel point que je me branlais avec une telle force que je sentis a nouveau monter le plaisir dans mes couilles.. et alors que Viviane finissait de jouir.. je giclais sur son visage, sur sa langue, dans ses cheveux.. Elle se frottait contre ma pine rougie.. Je tremblais sur mes jambes… Viviane étalait mon foutre sur ses joues, sa bouche, léchais ses doigts. Elle était toujours cuisses écartées troussée, et elle finit de lâcher quelques jets d’urine. Ses cuisses étaient mouillées, sa chatte humide et suintante d’un jus laiteux accumulé au creux de son sexe. Je la voyais là sous un autre jour.. très chaude et perverse au possible. Surtout quand elle me dit « t’a vu le mec là il nous mate… »Je jetais un coup d’œil et effectivement je vis un homme d’un quarantaine d’année, planqué derrière un buisson. J’allais me rajuster quand Viviane, dit « Non laisse le mater.. ca m’excite… » Tout en disant cela elle attrapa ma queue et se mit à la sucer tout en jetant des coup d’œil à ce brave type qui semblait agité.« Il se branle … » dit Viviane. « Dit lui de venir… » me dit -elle. « Quoi?? T’es folle!! » répondis-je« Mais non j’ai envie de le voir gicler.. ou qu’il gicle sur moi!! » me dit elle d’une voix rauque Tout compte fait ca pouvait être amusant.. mais encore une fois Viviane me surprenais et cela me mettait du baume au cœur .. j’allais sans doute pouvoir lui avouer mes turpitudes passées.Tout en me laissant pomper par Viviane je me tournais légèrement et fit signe à l’homme de venir nous rejoindre. Dès qu’il comprit qu’il était repéré il disparu prestement… « Pauv’con .. reviens!! » l’interpella Viviane avant de reprendre ma queue dans sa bouche me pompant de plus belle. Elle me suçait goulument, impatiemment même, elle avait le rouge au joues, au creux de la poitrine également. Son excitation était énorme. Tandis qu’elle me suçait elle avait les doigts dans sa chatte se branlant avec ardeur. Je la relevais, la tournait et je glissait ma queue dans sa chatte inondée pour l’humidifier, puis j’appuyais mon gland contre sa rondelle brune et d’un coupe je l’enculais, je m’enfonçais presque d’un seul coup à fond dans son anus. Elle gémit et passant sa main entre ses cuisses réussit à m’att****r les couilles. « Oui défonce mon cul, vas y péte moi le rond fort !!!oui plus fort!! » criait-elle. J’entrevis du coin de l’œil un couple passant sur le chemin en contre-bas jeter un regard vers notre cachette. Mais s’il avait entendu du bruit ils ne nous virent pas.. du moins je crois. Et franchement peut m’importait qu’on nous vit , je ne pensais qu’a une chose jouir dans ce cul qui me serrait.. sa main me malaxait les prunes.. J’avais empoigné sa natte et lui tirait violemment la tête en arrière. Ce fut violent et bref je lâchais plusieurs fortes giclées dans son cul.. de son côté elle jouis presque au même instant, inondant encore une fois le sol et nos pieds de longues giclées tout en enfonçant ses doigts dans sa chatte baveuse. Je commençais seulement à la découvrir.. Viviane était une vraie fontaine.. et elle adorait tous les jeux humides.. ce qu’elle me prouva maintes fois.. C’était une femme pleine de fantasmes et de perversions et comme moi elle osait assouvir ses pulsions.. Je ne savais pas encore jusqu’où cela irait.. et si je l’avais su……Pourtant je sentais que bien qu’elle prenait du plaisir, elle semblait toujours attendre plus.. Comme si il lui manquais quelque chose pour atteindre la plénitude. J’espérais qu’elle lèverait rapidement le voile sur cette posture un peu en retrait. Moi par contre.. je prenais un plaisir sans fin à jouer avec elle. Viviane était ouverte à toutes les folies.. Malgré sa position sociale un peu en vue.. Elle se lançait dans toutes les folies. Elle me lançais des défis sans cesse. Durant notre semaine nous avons certes visité sa région mais surtout nous avons fait l’amour dans pas mal de lieux insolites et publics.. Restaurants, toilettes, parkings tout y passait. Je remarquais très vite qu’elle s’ingéniait à trouver des endroits pas vraiment déserts et plusieurs fois nous étions en représentation pour quelques voyeurs. Ce n’était pas fait pour me déplaire. Nous nous entendions à merveille donc, mais j’avais toujours cette désagréable sensation que quelque chose manquait à sa plénitude. Petit à petit je me livrais à elle, et quand j’y repense je n’avais que peu de choses sur son passé. J’expliquais que ma vie n’étais pas très sage et que j’avais mutltiplié les aventures.. cela ne la dérangeait pas. Puis j’abordais le sujet des aventures en groupe et elle m’avoua que cela lui était aussi arrivé mais sans grande précision et qu’elle ne détesterais pas recommencer. Plus j’avançais plus je la sentais encline aux mêmes démons que moi. Puis je lui dit que j’avais plus qu’une attirance pour les hommes également, qu’en fait j’étais totalement bisexuel et que je l’assumais. Elle parut surprise, me disant que jamais elle n’aurait pensé que ce put être le cas. Elle se fit plus curieuse, me demandant si c’était uniquement lors de soirées à plusieurs ou bien si cela m’était arrivé juste avec un homme en tête à tête. J’expliquais que effectivement selon les cas je pouvais apprécier d’être seul avec un homme. Je n’arrivais pas à obtenir beaucoup d’informations d’elle, sur elle. Je finis par lui faire remarquer que notre échange était à sens unique. Ou presque.. Elle semblait incapable de me parler de son passé de ses aventures. Elle disait également que ca n’avais pas d’importance, que le mieux c’était de se découvrir petit à petit. Je n’étais pas d’accord. Petite ombre sur notre jeune relation. Mais cela ne portait pas à conséquences. J’abordais enfin les débordements sado maso que j’avais pratiqué avec Patricia, et là je vis dans les yeux de Viviane une lueur s’allumer. Elle me pressa de questions, demandant des détails. Elle avait compris que j’aimais être soumis à une femme, du moins dans la pratique érotique, que j’aimais même souffrir réellement. Viviane semblait pressée de savoir su j’aimais dominer, faire souffrir. Ce qui n’était pas vraiment le cas. J’aimais faire l’amour avec une femme entravée, mettre une petite fessée, être brusque en la prenant. Mais a part quelques coups de martinets bien anodins je n’avais pas dominé une femme et ce n’était pas vraiment dans ma nature. Mais j’admettais parfaitement que me faire démolir par une femme faisait partie de ce que j’aimais.Viviane se renfrogna quelque peu et me demanda si ca serais toujours ainsi ou bien si j’avais pas envie de passer de l’autre côté du miroir. Je sentais que nous étions arrivé à un point d’achoppement. Je lui demandais pourquoi… toutes ces questions?« Juste que je suis comme toi… je suis maso.. j’aime être battue, humiliée, utilisée par mon maitre et je voudrais être à toi.. tu sais je prend du plaisir avec toi mais ce n’est pas pareil » Dit elleJ’étais pas vraiment surpris car je voyais venir le coup.. mais c’était la première fois que l’on me faisait cette proposition. Les yeux de Viviane brulaient d’un feu nouveau, on sentait tout l’espoir qu’elle mettait dans ma réponse. « Alors tu veux être mon maitre, je serais ton esclave tu fera de moi ce que tu veux TOUT ce que tu aura envie de faire je le ferai » dit-elle en me regardant droit dans les yeux« Tu te rends compte de ce que tu dit ma chérie? On se connait pas beaucoup encore… Si je suis un horrible psychopathe en fin de compte tu te rend compte des risques? » Répondis-je« Je n’ai jamais eu la chance de rencontrer un homme comme toi, je n’ai jamais été aussi bien mon chéri, mais ne sois pas fâché, tu me donne du plaisir mais ce n’est pas assez fort je suis habituée à autre chose » dit elle en me pressant la main.Elle commença à m’expliquer, à se dévoiler enfin. Elle avait craqué pour son chef de service, un homme marié qui avait presque 40 ans de plus qu’elle et qui l’avait petit à petit initiée et surtout avait fait d’elle son esclave, un véritable jouet. Viviane de son côté avait tellement pris de plaisir à ces jeux que désormais elle n’arrivait plus à prendre du plaisir de façon ”normale” du moins cela lui semblait fade. Depuis un peu plus d’un an que son « maitre » avait pris sa retraite et l’avait abandonnée elle avait eu quelques aventures qui restaient sans lendemain. Mais depuis qu’elle m’avait rencontré elle désirait plus que tout construire avec moi un avenir mais ses envies de soumissions devaient être partie intégrante de notre relation sinon elle savait que nous courrions à notre perte. C’est pleine d’espoir qu’elle me faisait cet aveu.. Je sentais qu’elle était inquiète, que pour elle tout allait se jouer sur la réponse que je lui ferais. Je sentais confusément que si je lui avouais que je me sentais plus soumis que dominateur , notre histoire allait tourner court. J’avais moi aussi de mon côté et en peu de temps conçu une véritable passion pour elle. Je ne pouvais pas balayer cela d’un revers de la main. Compte tenu de mon expérience de soumis, je savais la relation qu’il y a entre celui ou celle qui domine et celui qui est soumis. Je pensais bien qu’il était possible d’inverser les rôles. Je jouais franc-jeu avec Viviane, je lui dit que je ferais tout pour la satisfaire, que mon seul but ma seule envie c’était d’être avec elle et que je voulais bien tenter l’expérience. Par contre je fus très clair, je voulais bien d’une femme esclave dans nos rapports intimes, mais que je ne pensais pas que j’aimerais avoir une femme totalement soumise dans tous les moments de la vie.. Elle accepta.. l’augure.. mais au fil des mois la situation allait évoluer.. et moi aussi.Viviane s’approcha de moi, se colla contre moi, les yeux dans les yeux. Ses lèvres tremblaient, elle dit doucement «  Je suis à toi, je suis ton esclave » sa voix était différente, son regard également puis lentement elle s’agenouilla, devant moi et se prosternant totalement embrassa mes chaussures.Mu par une réaction venant de je ne sais où, j’attrapais sa natte, et la tirant violemment vers le haut.. je l’obligeais à se relever. Tenant sa tête prés de la mienne je la regardais un instant, c’était incroyable je n’avais plus le même visage en face de moi, son souffle était court, sa bouche entrouverte, ses yeux de biche aux abois semblait réclamer cette v******e qu’elle attendait, qu’elle espérait… Je lut dans son regard qu’elle était mienne, qu’elle se donnait et qu’elle attendait un signe qui lui confirmerais que j’étais son maître et qu’elle était mon esclave.. Lui tenant la tête rejetée en arrière, je la giflais bien plus fort que je ne le voulais et tandis que mes doigts s’imprimaient en rouge sur sa jouer elle passa sa langue sur ses lèvres tremblantes.. Me défiant du regard pour avoir encore une fois une punition.Je venais de mettre le doigt dans un engrenage qui allait me broyer, l’âme et même le corps.. une descente aux enfers que j’ai malheureusement appréciée, je suis devenu un autre, un étranger pour moi même. Je suis devenu une ordure, un fou, un pervers capable de tout.. De tuer? Oui si je n’ai pas de mort sur la conscience c’est que un fil ténu m’a toujours retenu au dernier instant. Mais encore aujourd’hui la question de pose ais-je au fond de moi cette envie de meurtre? Ais-je vraiment envie au fond de moi de m’arroger le droit de prendre la vie? J’ai honte, je suis mal, je me vomis. Plus que tout ce qui me fait horreur c’est d’avoir pris plaisir à toutes les choses que j’ai vu acteur passif mais avide de ces images de cauchemar, auxquelles j’ai participé aussi en tant que bourreau, tortionnaire et qui à ma grande honte m’ont donné du plaisir.. Je ne crois ni en dieu ni en diable, mais si j’étais croyant, je pense que au moins à cette époque j’étais possédé par un démon. Viviane était le révélateur, je ne crois pas que c’est sa faute, je crois que cette noirceur était en moi, refoulée mais présente, ne demandant qu’a s’exprimer. Je crois que ses pulsions violentes, je les avaient tournées contre moi, c’était sans doute la source de mon masochisme avéré. C’était l’explication de tous mes débordements que Patricia avait mis à jour. Je comprend maintenant bien mieux mes fantasmes, mes pulsions. Je n’ai pas de tendance auto destructrice, par contre la souffrance qu’elle me soit infligée ou que je l’inflige, la souffrance physique est source de plaisir pour moi. Quand commença notre histoire avec Viviane, je savais que j’aimais la douleur, mais je ne savais pas encore que l’infliger me procurerais de telles sensations. Je ne savais pas non plus jusqu’où mon esprit que je juge..malade pouvait aller..

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