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La chercheuse ( troisième partie )Promenade dans les bois-Suis moi! Dit la maîtresse de maison en entrainant Judith dans la cour arrière du châteaux la prenant par la main. Tout était en friche et laisser a l’abandon, il y avait eu un toit autrefois mais il c’était écrouler et de haute herbes sèche avaient envahit l’endroit. Elle avançait prudemment toutes les deux en soulevant leur robe pour bien voir ou elle mettaient les pieds. Puis ils franchirent une porte de bois a moitié arracher pour entré dans un sous bois faiblement éclairer par le soleil couchant de cette belle journée d’automne. A midi il faisait chaud en cette période de l’année mais la, l’air se refroidissait et heureusement, pensa Judith en frissonnant et regardant sa poitrine sursauter dans son décolleté échancrer, qu’il ne ventait pas. Se promener comme sa sans manteau c’était un coup a att****r une angine de poitrine et coté poitrine, elle et moi, on as rien a envier a personne, se dit-elle en souriant. Judith avait hâte de se retrouver dans un bon lit bien coller contre cette femme bien ronde et fort belle et désirable. Mais ou l’amenait t-elle, dans une maisonnette sur le domaine? Elle suivait une sentier qui zigzaguait entre de grands arbres qui avait prit les couleurs de l’automne et marchait parfois sur un tapis de feuilles mortes pas encore assez sèche pour s’émietter.Puis elle frissonna encore plus en apercevant de grande forme sombre vaguement d’apparence humaine au loin sous les bois et réalisa que c’était des statues immense avaler peut a peut par la forêt. Des guerrier ancien, des femmes a demie nue, des dieux grimaçant tenant des éclair… Elle devina que jadis cette endroit devait être un immense jardin bien entretenue, mais il y avait bien longtemps sans doute. Elle vit même un banc a moitié ensevelie par une énorme chêne et une fontaine assécher remplie de feuilles et de branches morte.-Ton cocher ma donner la chaire de poule! Dit la femmes écartant des branches sur leur passage! Des feuilles multicolore s’en détachait pour tomber mollement en virevoltant.-C’est plus qu’un cocher, Raban est mon garde du corps tout dévouer!-Amoureux de toi j’imagine! Qui ne le serais pas!-Il donnerais sa vie pour moi, dit Judith éludant la question, et me la prouver en de mainte occasion!-Il est bel homme, surtout avec ces terrible cicatrice au visage, sa le rend plus viril plus attirant même si il n’est plus très jeune. Il doit avoir mon age je dirais?Judith se contenta de sourire, elle n’aimai pas raconter sa vie a des inconnue et ne voulait surtout pas l’effrayer en lui disant que c’était elle qui lui avait fait ces cicatrices sous le coup de la colère a l’époque ou il n’était pas son serviteur mais son amant, son protecteur et son mentor surtout. Il lui avait tout apprit, a lire, a écrire et tout sur le métier quelle faisait maintenant!-J’aimerais bien qu’il m’écarte les cuisses, tu croix que…Judith sourit sachant très bien que Raban en serait ravit. -Oui mais, sa devras se conclure rapidement, je doit partir tôt demain!-Si on si mets toutes les deux, tu connait les hommes, ce serait plus rapide et…-Non! Trancha Judith un peut trop sèchement.Odile la regarda en marchant sans insister et lui sourit, comprenant sans doute qu’il y avait eu quelque chose entre eux et que cela avait du mal se terminer.-Désoler! Dit-elle simplement. Je suis trop curieuse et trop passionner!Judith serras la main moite sans rien n’ajouter se laissant entrainer de plus en plus profondément en forêt par le sentier tortueux en se demandant ou elle allaient comme ça. A part quelques oiseaux qui s’enfuillait invisible dans les branches, le silence était total. -Je peut te tutoyer, moi ses Odile!-Oui bien sur! Mais, ou vas ton Odile, je croyait qu’on allait prendre un bain? Pas dans un lac ou une rivière si tard en automne j’espère et a la tomber de la nuit en plus! -Ne t’inquiète pas, tu vas aimer! C’était un jardin immense ici autrefois, canlı bahis les propriétaires qui nous on vendue avait commencer a le remettre en état mais y on renoncer finalement. Il n’en avait plus les moyens. Puis moi et mon mari on as acheter tous sa pour une boucher de pain et laisser telle quelle enfin presque. Ce domaine était a l’abandon depuis plus d’un siècle y parais, peut être plus et nul ne sait qui a construit le châteaux et ses jardins qui devaient être fabuleux a l’époque.Elle continuèrent en silence, Judith appréciât le calme apaisant de la forêt depuis sa plus tendre enfance. Elle parlait toujours très peut et cela ne la rendait que plus mystérieuse et elle cultivait cela. Ils y avait toujours des statues, sa et la, mais cette fois c’était des monstres de toutes sorte, ork, gargouille, dragon, méduse, et d’autre trop difficile a discerner dans la pénombres des sous bois ou trop loin. Il y avait aussi des sentier en friche partant dans toutes les directions, des vestige de pavillons, de murets, des bassins remplie de déchet etc… Judith se promis de se faire inviter mais en été cette fois pour se promener ici en plein jour.-En tout cas, ses statues donne froid dans le dos! Admit-elle.-Et ces pire a la nuit tomber!Elle entrèrent dans une petite clairière ou jadis trônait sur un pieds piédestal, une immense statue d’un guerrier antique, tomber maintenant et couché sur le dos dans les haute herbes. Une œuvre parfaitement proportionner, de style grec ou romain avec casque, épée et bouclier mais ne portant aucun vêtement et les partie génital était très bien rendu, surtout le membre en érection et légèrement recourber. Mais, la statue était maintenant en partis recouverte de vers de gris, de lierre et de ronce. L’énorme bite s’élevait toute droite au travers des longue herbes sèche pointant fièrement vers le ciel. Judith sourit trouvant cela cocasse se demandant si quelque petite vicieuse c’était déjà assise dessus, ou si ce membre était tout simplement le but de leur petite randonner. -N’y pense même pas, dit Odile qui la regardait malicieuse, elle est attirante comme sa a dix pas, mais quant on as le nez dessus on s’aperçoit quelle est grosses comme mon bras. Aller, déshabille toi! Montre mois se corps de rêve ma belle et on enlève absolument tout!-Ici! Fit Judith surprise en la voyantes se débarrasser de son voile pour ensuite délassé sa robe.-Mais oui!Elle ne sait pas pour moi et elle vas avoir droit a une jolie surprise, pensa Judith en délassant sa robe ses seins en jaillirent et ce fut une vrai délivrance de ne plus les sentir compresser. Elle appréciât le fait de se mettre nue en pleine nature et cela l’éxitait beaucoup, mais l’été, la c’était un peut frisquet et puis dans quelque heures il ferait nuit et elle était loin du château. Judith n’était pas de ses femmes nerveuse qui s’effrayait pour un rien, au contraire, peut de chose lui faisait peur et surtout pas un homme. Elle avait toujours eu plus d’amie garçon que d’amis de fille dans sa vie et elle avait fait les cent coup avec eux. Elle se battait même comme un garçon, plus tard dans la trentaine elle avait prit des cours d’escrime, de tir a l’arc et a l’arbalete et même le combat au corps a corps n’avait plus de secret pour elle. On lui avait apprise a maîtriser un homme simplement en lui tordant un poignet, un coude ou avec une clef de bras, et de bien d’autres manière et elle avait du le faire a mainte occasion. Sa vie avait été autrefois des plus mouvementé. Mais toutes ses silhouettes sombre qui semblait les épier du fond des bois lui donnait froid dans le dos, elle avait même l’impression quelle se rapprochait. Une illusion dut a la pénombre se dit elle pour se rassurer. Et si c’était un piège pour se débarrasser de toi, garder l’argent et le codex. Après tout, dans le milieux ou elle travaillait la compétition était féroce, surtout avec l’église. Elle c’était faite des ennemies au cours des bahis siteleri année mais surtout a Paris et en Italie. Elle resta sur ses garde prête a défendre chèrement sa vie. Et puis connaissant son garde du corps elle n’aurais pas été étonner qu’il soit la, peut-être une de ses silhouette tapis dans l’ombre pour la protéger ou il se tapait les deux jolie servante qui l’avait accueillit. Sa aussi c’était fort possible le connaissant que trop bien.-On ne serais pas mieux a l’intérieur Dame Odile bien au chaud toutes les deux dans une grandes cuves remplie d’eau bien chaude et savonneuse? -Aller, a poil la mijorer! Fit elle rieuse. On te dit pourtant très aventureuse! Judith lui fit une jolie grimace qui la fit rire.Puis elle sourit en baissant le haut de sa robe après avoir sortit ses long bras de ses manches découvrant complètement sa poitrine lourde qui se couvrait de grosses chaire de poule tandis que ces petit mamelons durcissait, ca la chatouillait et lui faisait presque mal. -Ouf, fit-elle en se les frottant pour se les réchauffé, mais aussi agacer Odile qui les admiraient, ses frisquet!Ce fut a son tour de se faire faire une petite grimace avec une belle langue courte et pointu pendant qu’Odile ouvrait sa robe a son tour dévoilant de très gros seins mou et tombant contre son ventre rond, qui se couvrirent, eux aussi, de grosses chaire de poule. Ils étaient blanc comme du lait avec de beaux mamelons ovale brun foncé et des bout durcit gros comme ses pouces quelle se frotta également rieuse. Les seins remuaient et se frappaient ensemble mollement Judith en saliva déjà très éxiter.-J’ai jamais vue des seins comme les tiens Judith, aussi large, au mamelons si bien centré, si petit, Ils sont magnifique et me donne l’eau a la bouche et se ventre plat, je te l’envie. Moi j’ai toujours été ronde.-Les plus belles femme sont les ronde Odile, c’est bien connue! Dit Judith en se retournant pour finir d’enlever sa robe. On garde nos chaussures?-Ni chaussure ni bas! Quelle age a tu?-L’age de raison curieuse!Odile la vit se retourner et commencer a descendre sa robe en se dodelinant joliment du cul, par pudeur sans doute se dit elle. La vue de ses jolie fesses blanche, une peut grosse et molle et bien coller, la fire saliver encore plus et de ses longue jambes musclé, ses cuisses ferme bien serré ne la laissant pas entrevoir son con même quant elle enleva soulier et bas. Cette vison la faisait déjà mouillé et dut déglutir, il y avait si longtemps quelle n’avait pas ressentit une telle attirance pour une femme.Elle aussi fini d’enlever sa robe et tout le reste et ses dessous. Elle avait toujours apprécier le contact de ses pieds nu sur la terre et sur l’herbe et croisa encore ses mains sur ses seins geler. Malgré l’air frais toute ses sensations était des plus agréable et exacerber par sa nudités et en regardant cette grande femme complètement nu se tenir bien droite elle aussi main croisé sur les seins débordant de son torse lui tournant toujours le dos elle sentit l’odeur de son propre sexe et dit.-Grande, svelte et… pudique La chercheuse! Cela m’étonne!-Pudique, je l’ai été, mais il y as fort longtemps! Fit Judith en se retournant tout en grelottant mains croiser sur sa poitrine curieuse de voir l’expression d’Odile quand elle découvrirait son sexe.Celle ci arrondit les yeux en fixant son bas ventre et posa une main sur sa bouche grande ouverte tellement elle était surprise.-Par tout les saints! Lâcha t-elle contre ses doigts.Odile regardait une belle grosse bite déjà bander dur qui sursautait fièrement sous laquelle pendait deux belle couilles a peine poilue. C’était si incroyable quelle dut regarder a nouveau le visage si féminin, son buste, ses hanche ses longue jambe et a nouveau se membre palpitant, légèrement recourber vers le haut. Elle avait sous les yeux une femme incroyablement belle avec une bite. Le meilleur des deux monde pensa t-elle sentant sa vulve se gonfler.Judith bahis şirketleri rit a voir son expression, le fait de se dévêtir en plein air et de voir Odile nue avait provoquer cette belle érection. Le long membre veiner sursautait a chaque battement de son cœur sous sa toison brun roux. Elle l’empoigna de la main droite avec un de ses fameux sourire en coin et se branla doucement, son long prépuce couvrant et découvrant son gland. Elle aimait bien voir l’effet que provoquait chez les femme la vue d’une bitte entre ses cuisses et de ses jolie couilles qui pendait très bas. Et la, Odile lui donnait un jolie spectacle avec ses yeux arrondit fixant son membre palpitant, sa mâchoire décrocher, et son air ahurie était des plus comique. Mais elle était surtout magnifique avec ses belle rondeur si blanche et si lisses sans vergeture ou mauvais plis et sa toison pubienne grisonnante en ovale qui la faisait saliver mais pas autant que sa vulve au lèvres brun-rose gonfler, ouverte, luisante humidité. De plus elle avait encore de fort jolie jambes pour son age, entre 50 et 60 ans peut être se dit-elle en s’approchant d’Odile a la toucher.-Alors, fit Judith tout sourire penchant la tête vers elle en secouant sa bite, déçut madame?-Par dieux tout puissant, fit-elle fixant toujours le membre, certes non, bien au contraire! Mais… C’est si étrange! On te disait garçon manquer mais la… Odile était fasciner par la bitte, mais surtout très éxiter, son con en dégouttait, le désir lui tiraillait les tripe. Elle devait faire de gros effort pour ne pas s’étendre la, dans l’herbe et écarter les cuisses ou se mettre a genoux pour la sucer longuement mais elle résista, elle avait d’autre plans tout aussi éxitant. Surtout maintenant quelle avait vue ce que cette femme avait entre les jambes. Elle préférait les filles mais ne rechignait pas sur une belle bite de temps en temps, bien au contraire. Malheureusement, plus elle avançait en age moins les hommes s’intéressaient a elle, même ceux quelle payait grassement se faisait de plus en plus rare a accepter ses invitations. Soudain Judith lui prit la main et la posa sur le membre chaud, la bite sursauta au contact de ses petit doigts glacé. Odile se sentit faiblir en sentant la hampe dans sa main et la fixait en la caressant doucement sentant la peau glisser sur les muscles durcit et voyant les couilles valser. Les yeux petit et rieur, elle sentit Judith en frémir des pieds a la tête les yeux réduit a deux petite fente la rendant encore plus désirable, mains croiser a nouveau sur ses seins magnifique.-Doux et chaud Odile comme toute les phallus de chair et de sang! Lui dit-elle!-Comme tout le monde j’ai entendue bien des histoire a ton sujets mais je croyait que tu portait un gode en ceinture, comme il m’arrive parfois. On parlait de vrai bite mais… Je n’y croyait pas, surtout quand je tais vue au châteaux. Je me suis dit, une aussi belle femme aurait une bite au lieux d’un con, impossible, même si je sait que la nature, parfois, nous joue des tours. Et voilà. C’est vrai et je la caresses, j’en sens la dureté et la douceur et ma chatte toute mouillé en meurt d’envie. Elle crache du foutre?-Absolument!-Donc, tu peut enfanter!-Possible mais je ne croix pas, j’en et fourrer des belles et des moins belles dans ma vie et leur est remplie le con de foutre et a ma connaissance aucune n’as été engrosser!Judith trembla de froid, mais c’était encore supportable, de plus, la main Odile sur son membre provoquait chez elle des bouffer de chaleur des plus agréable. Elle avait envie de se coller contre elle, de fourrer sa langue dans sa bouche et de caresser sa peau qui devait être si douce mais elle sentait quelle avait d’autre plan. Que leur balade n’était pas terminer.-Ce n’est pas pour me plaindre mais on se les gèle ici, mes couilles se contracte.-Oui je le sens, fit Odile en lui pressant tendrement le scrotum plisser, puis, lui lâchant a regret pour lui reprendre la main elle dit. Suis moi!-Et nos vêtements? Demanda Judith en lui emboitant le pas.-Une servante vas venir les chercher vient! J’ai trop hâte de me faire prendre par toi maintenant!————————- a suivre

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